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20 novembre 2023 1 20 /11 /novembre /2023 19:53
https://nouveau-monde.ca/novembre-national-un-changement-culturel-de-la-droite-espagnole/

https://nouveau-monde.ca/novembre-national-un-changement-culturel-de-la-droite-espagnole/

Lors des journées de Ferraz, ainsi que sur les réseaux sociaux, un nouveau drapeau avec deux N couronnés par la croix chrétienne a attiré l’attention. Que symbolise ce logo, porté par tant de manifestants ?

 

... Noviembre Nacional, expression inventée par l’ingénieux twitteur Españabola.

 

Novembre national contre Sánchez

Comme je l’ai dit, c’est la première fois dans notre histoire récente que des forces vives osent remettre en cause le credo du « liberalismo ». La droite espagnole a fait volte-face et descend dans la rue pour crier contre le roi, la Constitution, la monarchie, la laïcité à la française, la police et même l’Union européenne. Et, bien sûr, tous ces éléments sont ceux qui ont été les verrous qui, pendant plus de 40 ans, ont protégé le cœur du système démolibéral.

 

Prenons quelques exemples : contre le roi, les manifestants disent : « Felipe, maçon, défends ta nation » ; contre la Constitution : « La Constitution détruit la nation » ; contre la monarchie : « Les Bourbons aux requins » ; contre la neutralité religieuse : « L’Espagne chrétienne et non musulmane » ; contre le système politique ; contre la police : « Ces laitières à la frontière » ; contre l’UE : nous avons vu des images où certains, dans le feu de l’action, brandissaient les drapeaux de l’Union européenne et où d’autres manifestants les leur arrachaient des mains.

 

… Le Novembre national est un mouvement national-populaire né dans la rue et diffusé par les réseaux, de la base au sommet.

Il va sans dire que des drapeaux ad hoc se sont répandus, comme le drapeau officiel avec les armoiries de 81 découpées ou le drapeau de Novembre National (avec une esthétique de runes nordiques et la croix chrétienne présidant aux initiales NN).

 

… Tout d’abord, je crois qu’il s’agit d’un véritable sursaut national. Le début de la réconciliation des deux Espagnes par les actes. Deux Espagnes qui ne sont pas, comme on le dit souvent, la gauche (rouge) et la droite (bleue), mais celle qui était endormie et celle qui, bien qu’éveillée, était narcotisée.


 

Deuxièmement, on a beau essayer de faire croire que le tumulte est contrôlé par les partis politiques, il s’agit d’un mouvement spontané qui échappe totalement au contrôle du politburo de l’époque. Novembre national est un mouvement national-populaire qui naît dans la rue et se propage à travers les réseaux, de bas en haut. En revanche, le mouvement 15-M et le processisme sont des stratégies élitistes. L’une de « fermeture » et l’autre de « remplacement ». Avec le recul, le 15-M s’est avéré être davantage une stratégie des élites européennes pour domestiquer le mécontentement provoqué par la crise financière de 2008. À tel point que l’un des architectes et idéologues de cette vague de protestations (dont le germe était Occupy Wall Street), Yanis Varoufakis, a cessé d’oser « défier » les « hommes en noir » de la Troïka pour promouvoir DiEM25, un mouvement politique paneuropéen et technocratique. Ce « moment populiste » s’est avéré être un bluff et, après l’éclatement des « révolutions de couleur » dans le monde entier, des partis similaires à Podemos sont apparus comme des champignons.

D’autre part, le processus catalan depuis Artur Mas est clairement une tentative de remplacer une élite centrale par une élite périphérique. Et le remplacement des élites ne remet pas en question le statu quo existant, mais préfère les noms de famille Cambó, Saramanch, Pujol et Grifols à García ou Rodríguez. Par conséquent, le but ultime de l’indépendance catalane est de « ressembler à l’Europe » et de devenir un État parfaitement comparable à ses voisins, avec sa constitution, son système judiciaire et son trésor. Le mandat du peuple catalan n’est autre que le plus « normatif ». Quoi qu’il en soit, le NN n’est ni le réveil facha du 15-M, ni un simple retour de bâton de l’indépendantisme, il va au-delà.

Source: https://www.vozpopuli.com/altavoz/cultura/noviembre-nacional-cambio-cultural-derecha-espanola.html

via https://nouveau-monde.ca/novembre-national-un-changement-culturel-de-la-droite-espagnole/

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29 mai 2022 7 29 /05 /mai /2022 18:51
https://euroweeklynews.com/2022/05/27/2200-prominent-spanish-personalties-investigated-for-false-covid-19-vaccination/

https://euroweeklynews.com/2022/05/27/2200-prominent-spanish-personalties-investigated-for-false-covid-19-vaccination/

De nombreuses interrogations subsistent sur les faux certificats de vaccination Covid-19 achetés par des stars, des personnalités sportives et des chefs d'entreprise

Par Peter McLaren-Kennedy • 27 mai 2022 • 9:28

 

SOURCE: https://euroweeklynews.com/2022/05/27/2200-prominent-spanish-personalties-investigated-for-false-covid-19-vaccination/

 

La réaction à la nouvelle selon laquelle plus de 2 200 Espagnols éminents, dont le dirigeant de l'une des plus grandes sociétés pharmaceutiques du pays, a été une réaction de résignation et d'incrédulité.

Depuis que l'histoire a éclaté le 24 mai, les gens se demandent comment cela a pu arriver. Mais ils ont aussi demandé ce qu'il en était, que la réaction à la nouvelle a été mise en sourdine, acceptant presque que cela se passe tranquillement.

 

Pour reprendre les mots d'un utilisateur de Twitter, Starfish : "Pourquoi PERSONNE ici ne parle de l'opération Jenner, découverte en Espagne, pourquoi ne vont-ils pas plus loin dans l'enquête ?"

 

La réalité est que l'enquête est toujours en cours et que davantage de preuves sont recueillies avant que beaucoup d'entre eux ne soient jugés, mais le résultat est peut-être inattendu.

 

Alors que l'Espagnol moyen faisait ce que le gouvernement demandait, obéissait aux règles et sortait et se faisait vacciner, d'autres pensaient qu'ils étaient au-dessus de la loi, qu'ils étaient en quelque sorte spéciaux.

 

Ce qui est déconcertant, c'est que beaucoup de ces personnes exercent des professions qui impliquent un niveau élevé de contact avec les autres. Essentiellement, ils se souciaient si peu de ceux qui les entouraient qu'ils ne se souciaient pas de s'assurer que ceux avec qui ils entraient en contact étaient protégés et exempts de Covid-19.

 

Mais peut-être que le plus gros problème est que le niveau de confiance est rompu, qu'un président d'entreprise impliqué dans la recherche de vaccins Covid-19 n'a pas jugé nécessaire ou important de se faire vacciner conduit beaucoup à se demander si les vaccinations étaient nécessaires ou sûres.

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12 janvier 2022 3 12 /01 /janvier /2022 21:17

Espagne : "Le colonel Martínez-Vara* demande la suspension immédiate de la vaccination des forces armées et de la population"

*Chef des hautes études de ESFAS et du CESEDEN

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12 janvier 2022 3 12 /01 /janvier /2022 21:06

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22 août 2021 7 22 /08 /août /2021 12:18

Contrairement au Conseil "constitutionnel" français, son homologue espagnol a jugé que le passeport "sanitaire" était inconstitutionnel.

Source : https://www.lifesitenews.com/news/spanish-supreme-court-halts-covid-passport-plans-in-andalucia/

Source : https://www.lifesitenews.com/news/spanish-supreme-court-halts-covid-passport-plans-in-andalucia/

Le cour a statué que les mandats de vaccination constituent une atteinte aux droits à la vie privée des individus.

 

ven 20 août 2021 - 21h00 HAE

 

ANDALOUSIE, Espagne ( LifeSiteNews ) – La Cour suprême d'Espagne a rejeté une demande du gouvernement andalou d'imposer un régime de passeport COVID.

 

La mesure proposée aurait empêché les citoyens d'entrer dans certains lieux à moins qu'ils ne soient piqués contre le coronavirus ou puissent produire un test PCR négatif.

 

Juan Manuel Moreno Bonilla, président du gouvernement régional d'Andalousie, a initialement tenté d'imposer des restrictions à l'entrée dans les lieux d'accueil de la région pour ceux qui ne pouvaient pas prouver qu'ils avaient été "complètement vaccinés" contre COVID-19, avec la possibilité de produire un test PCR ou antigénique négatif effectué dans les 72 heures, suivant le modèle du certificat numérique Covid de l'Union européenne .

 

L'objectif proposé de la mesure était de "dissuader" ceux qui pourraient propager le virus – désignant vraisemblablement les non vaccinés comme porteurs du virus – et de "motiver" ceux qui n'ont pas encore été piqué, selon un rapport de le journal espagnol en ligne 20 Minutos.

 

Bonilla prévoyait de mettre en œuvre la mesure le 5 août, mais peu de temps après l'annonce du plan, le gouvernement a poursuivi en déclarant qu'il demanderait l'approbation de la Cour supérieure de justice d'Andalousie pour assurer "une plus grande sécurité et une plus grande sécurité juridique" concernant la décision, a déclaré le ministre de la Présidence Elias Bendodo.

 

Le lendemain, la cour a rendu son jugement selon lequel le projet proposé pouvait porter atteinte au droit à la vie privée et a donc rejeté la requête. Selon les juges, le régime du passeport s'est également avéré "non adapté ou proportionné pour atteindre l'objectif visé, à savoir la protection de la vie, de la santé et de l'intégrité physique, dans la mesure où, loin d'éviter la contagion à l'intérieur des lieux de divertissement, le passeport peut les rendre possibles, c'est pourquoi il ne peut pas être ratifié par cette Chambre."

 

De plus, le gouvernement n'a pas prévu de "période d'efficacité de la mesure", en demandant essentiellement que "la mesure soit imposée indéfiniment et avec un sentiment de permanence, sans savoir quels critères seront suivis pour la rendre inutile ou la modifier." En conséquence, la cour a exigé que de telles limitations des droits fondamentaux "soient spécifiques, une exigence dont la requête en cours d'examen semble faire défaut".

 

Bien qu'un peu plus de la moitié de la population andalouse ait reçu deux doses du vaccin COVID avant la présentation de l'affaire, et qu'environ 75 % en ait reçu une dose, la cour a pourtant déclaré que le gouvernement demandait de "sacrifier le principe d'égalité par la discrimination de traitement résultant de l'exigence du certificat COVID lorsque l'ensemble de la population n'a pas eu accès au vaccin."

 

Malgré la décision du tribunal, Bendodo a annoncé que les certificats d'injections COVID "finiront par être imposés petit à petit".

 

Mais, confortant le jugement de la Haute Cour d'Andalousie, la Cour suprême d'Espagne a confirmé la décision de refuser la mise en œuvre des passeports COVID, laissant les lieux de divertissement ouverts aux citoyens qui ont décidé de ne pas prendre l'un des vaccins souillés d'avortement.

 

La Cour suprême a fondé sa décision de confirmer la décision sur deux facteurs majeurs : la proposition de refuser l'entrée aux non vaccinés dans toute la région sans référence à la propagation du virus "ne passe pas le test de proportionnalité" et sans preuve que les sites touchés par la perte de la coutume sont à l'origine d'éventuelles épidémies, il y avait un "déficit de justification".

 

La Cour suprême a fondé sa décision de confirmer l'arrêt sur deux facteurs principaux : la proposition de refuser l'entrée aux personnes non vaccinées dans toute la région sans référence à la propagation du virus "ne passe pas le test de proportionnalité", et sans preuve que les lieux touchés par la perte de la restriction sont à l'origine d'éventuelles épidémies, il y avait un "déficit de justification".  

 

Afin de prouver cette dernière, la cour a indiqué que le gouvernement d'Andalousie doit être en mesure de démontrer que "la soi-disant cinquième vague provient précisément des lieux de vie nocturne", par exemple. Ces preuves n'ont pas été fournies, ce qui a conduit la cour à rejeter la demande.

 

Outre les problèmes de justification et de proportionnalité, le tribunal a ajouté qu'"il n'est pas possible de restreindre les droits fondamentaux des citoyens par une mesure préventive telle que le 'passeport COVID'", car "[c]e n'est pas une mesure qui est spécifiquement indispensable pour sauvegarder la santé publique … mais plutôt une mesure préventive lorsqu'il arrive que, pour la restriction des droits fondamentaux, de simples considérations de prudence ou de précaution ne suffisent pas."

 

Pendant ce temps, le gouvernement britannique a récemment signé des contrats avec deux entreprises internationales dans le cadre de son "programme de certification COVID-19".

 

Le ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales a déboursé 1,6 million de livres sterling (2,2 millions de dollars) à deux sociétés technologiques basées aux États-Unis pour le développement des technologies de passeport vaccinal dans le cadre de contrats d'un an, avec la possibilité de prolongation jusqu'en 2023. Dans l'ensemble, le Royaume-Uni a dépensé environ 23,6 millions de livres sterling (32,9 millions de dollars) pour le programme de certification COVID depuis sa création cette année.

 

L'établissement des contrats est intervenu une semaine après l'annonce par le Premier ministre Boris Johnson en juillet qu'une preuve de vaccination contre le COVID serait nécessaire pour entrer dans les boîtes de nuit et "d'autres lieux" où "de grandes foules se rassemblent".

 

Le Premier ministre conservateur a souligné que "la preuve d'un test négatif ne sera plus suffisante" et que "certains des plaisirs et des opportunités les plus importants de la vie dépendront probablement de plus en plus de la vaccination".

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25 mai 2021 2 25 /05 /mai /2021 07:11

Le "complot qui n'existe pas" voit tous les projets décrits il y a déjà plus de deux siècles se réaliser... Tiens donc !

 

Comme le veulent le Forum économique de Davos et Klaus Schwab... il n'y aura plus de maison individuelle, plus de voiture, plus de CDI, des CDD à vie, la fin de la propriété, la retraite à 70 ans. Le Premier ministre espagnol adopte un plan visant à "faire de l’Espagne en 30 ans un des pays les plus modernes et prospères de l’Union européenne" (sic) !

 

Source: Se Réveiller - C'est S'informer Twitter | SputnikNews

Complot : plus de maison individuelle, plus de voiture, plus de CDI, CDD à vie, fin de la propriété, retraite à 70 ans : le Premier ministre espagnol adopte un plan visant à "faire de l’Espagne en 30 ans un des pays les plus modernes et prospères de l’Union européenne"

Jeudi 20 mai, le président du gouvernement espagnol Pedro Sanchez a présenté un plan de 675 pages intitulé Espagne 2050, fondements et propositions pour une stratégie nationale à long terme invitant à entamer une réflexion collective sur les défis du pays après la pandémie pour savoir quel type de pays «nous voulons être dans 30 ans».

 

«La vision de l’avenir doit être celle de l’État et non du gouvernement. Le présent nous occupe, mais nous devons également nous soucier de l'avenir», a lancé le Premier ministre.

Des réformes incendiaires

Le journal El Mundo déduit que conformément au plan de Sanchez en 2050, les Espagnols n’auront ni voiture ni maison personnelles et devront partager un appartement. Ils seront obligés de renoncer aux avions pour des voyages de courte distance en utilisant le train. En matière d’emploi, ils auront un statut autonome ou en CDD et pourraient avoir à travailler jusqu'à 70 ans avant de partir à la retraite. Ils devront manger moins de viande et payer plus d'impôts pour boire ou fumer.

 

Le document, développé avec la contribution de plus de 100 experts de divers domaines et origines idéologiques, est désormais ouvert aux amendements des partis politiques, des autorités locales et régionales, des syndicats et des groupes d'employeurs, des organisations à but non lucratif et des universités.

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Note du Blog Christ-Roi : Pas de referendum pour savoir si le peuple est d'accord avec ce projet communiste digne de l'URSS de Lénine et Staline, promesse de lendemains radieux de prospérité  économiques... Les Banksters et autres oligarques ont de beaux jours devant eux.

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Illuminés de Bavière : l'illuminisme au XVIIIe siècle

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 19:54

Le ministre de la Santé Olivier Véran a annoncé que le confinement durera "tant qu'il devra durer", a-t-il annoncé alors que le Conseil scientifique vient de préconiser une durée d'"au moins six semaines".

 

L’Espagne veut prolonger le confinement jusqu’au 11 avril. Le gouvernement espagnol souhaite prolonger de quinze jours l’état d’alerte qui devait initialement prendre fin le 29 mars. 1720 personnes sont mortes du coranovirus en Espagne depuis le début de la crise.

 

En France, les règles du confinement concernant nos églises et lieux de culte, selon l'arrêté du 15 mars 2020, sont les suivantes : "Les établissements de culte, relevant de la catégorie V, sont autorisés à rester ouverts. Tout rassemblement ou réunion de plus de 20 personnes en leur sein est interdit jusqu'au 15 avril 2020, à l'exception des cérémonies funéraires." ( Source: Arrêté du 15 mars 2020 complétant l'arrêté du 14 mars 2020 portant diverses mesures relatives à la lutte contre la propagation du virus covid-19, article premier https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041723302&categorieLien=id )

 

"Les établissements de culte" "sont autorisés à rester ouverts" pour les rassemblements "de plus de 20 personnes", selon l'arrêté gouvernemental du 14 mars.

 

Un article de La République des Pyrénées du 18 mars publie les réponses officielles aux questions les plus posées : 

 

"Puis-je me rendre dans mon lieu de culte ?

"Je ne peux pas participer à rassemblement ou une réunion de plus de 20 personnes au sein d’un lieu de culte."

 

Un article de la préfecture de l'Orne du 20 mars mentionne la même question et la même réponse :

 

"Puis-je me rendre dans mon lieu de culte ?

 

Oui, les lieux de culte ont été autorisés à rester ouverts. Mais je ne peux pas participer à un rassemblement ou une réunion de plus de 20 personnes au sein d’un lieu de culte."

 

Tout rassemblement en-dessous de 20 personnes est donc autorisé dans un lieu de culte de catégorie V.

 

Or, "dans une lettre adressée à tous les évêques de France, le président de la CEF (Conférence des Evêques de France), Mgr Eric de Moulins-Beaufort, rappelle que « aucune messe (dominicale, de semaine, de funérailles) avec une assemblée, de quelque taille qu’elle soit, ne doit être célébrée, mais précise que « les églises peuvent ouvertes, avec moins de 20 personnes en prière individuelle et à distance les unes des autres ». (Famille chrétienne )

 

Si 19 personnes se trouvaient déjà dans l'église pour prier, en ajoutant le prêtre, on se retrouverait au nombre maximum de 20 personnes dans l'église, nombre maximal autorisé par le gouvernement. Il ne manquerait plus que le prêtre pour assurer une messe ! Alors pourquoi devient-il persona non grata dans son église ?

 

De plus, le mouvement général de suppression de la messe par des évêques a été initié dès le premier dimanche de Carême, le 1er mars 2020, comme dans l'Oise avec la suspension des messes "jusqu'à nouvel ordre" (Le Figaro), soit 8 jours avant l'annonce le 8 mars d'une limitation des rassemblements à 1000 personnes et 16 jours avant le premier jour de confinement officiel limitant à 20 le nombre maximum, mardi 17 mars (arrêté du 14 mars). 

 

Pendant ce temps, il semblerait que les Juifs à shabbat, le samedi, et les Musulmans le vendredi continuent d'assister à leurs cultes, en respectant les directives sanitaires de limitation à 20 personnes. De même, chaque soir à 19h c'est la grand-messe à la télé sur toutes les chaines d'infos, sans aucune suppression.

 

Pour quelle raison le président de la CEF outrepasse-t-il l'arrêté du gouvernement? 

 

En Espagne, un évêque continue d'organiser des messes tout en respectant les consignes sanitaires :

https://www.riposte-catholique.fr/archives/155308

https://www.riposte-catholique.fr/archives/155308

Download PDF

 

Une grande nuit religieuse s’étend sur la France, l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne : sous prétexte d’épidémie et de “principe de précaution”, appliqué de manière manifestement disproportionnée, toutes vies sont suspendues, même la plus importante de toute, la vie sacramentelle de l’Église. En France, dans de nombreux diocèses, plus de messes publiques, en tout cas de messes dominicales, plus de baptêmes, plus de mariages, les évêques ayant anticipé ou amplifié les décisions gouvernementales. Les cours de catéchisme ont cessé dans les paroisses. On semble revenu aux pires heures de la Révolution.

 

Pour l’honneur de l’Église, un évêque diocésain, Mgr Juan Antonio Reig Pla, évêque d’Alcalá de Henares, près de Madrid, dans un entretien du 20 mars donné à Andrea Zambrano a fait savoir qu’il avait décidé de maintenir messe et communion dans son diocèse pendant l’épidémie actuelle, avec toutes les précautions nécessaires pour éviter la propagation de la contagion : « En tant qu’évêque, j’ai décidé de maintenir les églises ouvertes et de respecter l’horaire habituel des célébrations de la Sainte Messe. Je veux ainsi offrir aux fidèles le signe que l’Église n’abandonne pas ceux qui ont besoin de l’aide de Dieu, en particulier des sacrements. À cette fin, nous organisons les célébrations en suivant toutes les directives préventives recommandées par les autorités sanitaires.

 

[...]

 

Dans l’article qu’il consacre à la consolante nouvelle venue d’Espagne, L’Homme nouveau pose la question : « À quand un évêque français ? » (Riposte catholique / L'Homme nouveau )

Selon l'abbé Claude Barthe, dans un article sur L'homme nouveau, publié aujourd'hui, "en Pologne, en Espagne, la messe continue" :

 

"Il s’avère que d’autres évêques d’Espagne, où le degré de contagion de l’épidémie est plus grave qu’en France, ont fait de même, ceux de Grenade, Salamanque, Asidonia-Jerez, Cadix-Ceuta, Cordoue, Huelva, Almería, Segorbe-Castellón, Minorque, Orihuela-Alicante. Au total, ils sont onze évêques à avoir pris les mêmes dispositions que leurs confrères polonais.

 

Ainsi en informe Andrea Zambrano, dans La Nuova Bussola Quotidiana, en invitant l’Italie à suivre cet exemple. Les déclarations de Mgr Reig, d'Alcalá de Henares sont connues. Mgr Javier Martínez, archevêque de Grenade, dit pour sa part : « L'Église ne ferme pas parce qu'elle est porteuse de l'espérance du monde ». […] Tout cela a été d’autant plus facile que la Conférence épiscopale espagnole n’a pas pris de décision générale (en aurait-elle le droit ?).

 

« J’ai pitié de cette foule […] Si je les renvoie dans leurs maisons sans avoir mangé, les forces leur manqueront », dit le Christ avant de procéder à la multiplication des pains (Mc 8, 2-3). Prudemment, dans le respect des règles auxquelles ils sont tenus, les évêques de France ne pourraient-ils faire de même ? Et pas seulement les évêques, mais en conscience, les curés, les supérieurs de communautés religieuses, les prêtres ?" (Fin de citation)

 

 

En respectant toutes les directives préventives recommandées par les autorités sanitaires, à ce jour et à cette heureil est possible en France d'organiser des messes dominicales en divisant l'heure habituelle en trois ou quatre petites messes de 15 minutes (des messes basses, avec ou sans communion pour respecter la règle du 1m de distance) avec un nombre limité à 20 personnes, célébrant compris. Un portier pourrait se tenir à la porte d'entrée du lieu de culte pour  compter le nombre maximum de participants. 

*** Add. 31 mars 2020. Après l'Arrêté du 15 mars 2020 complétant l'arrêté du 14 mars 2020 évoqué plus haut dans notre article, un nouveau décret du gouvernement, en date du 23 mars, assouplit les règles du confinement lors des rassemblements.

 

Source du nouveau décret : https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041746694&categorieLien=id

 

Selon un article de Valeurs Actuelles, notre information est confirmée : « Pour Guillaume Drago, professeur à l’Université Paris II Panthéon-Assas, Christophe Eoche-Duval, haut fonctionnaire et Geoffroy de Vries, avocat à la Cour, les décrets de confinement laissent la possibilité aux fidèles de célébrer les grandes fêtes religieuses des prochaines semaines. » 

 

« En avril 2020, trois grandes fêtes ont lieu : la fête de Pessah pour la confession israélite, mercredi 8 avril, la fête de Pâques dimanche 12 avril pour les chrétiens, le début du Ramadan jeudi 23 avril pour les musulmans.

 

« Contrairement au discours de l’État, les rassemblements de moins de 100 personnes restent autorisés

 

« A la lecture du décret n°2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire, on comprend que, contrairement au discours tenu jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, et malgré une contradiction interne au texte, les « rassemblement(s), réunion(s) ou activité(s) mettant en présence de manière simultanée » « en milieu clos ou ouvert » sont autorisés dès lors qu’ils rassemblent moins de 100 personnes, selon l’article 7 du décret.

 

« Il apparaît donc que les responsables des cultes de notre pays peuvent utiliser cette possibilité, en prenant les mesures de précaution adéquates, afin de permettre à leurs fidèles de manifester l’expression de leur foi en ces trois fêtes fondamentales pour leur confession. » (Fin de citation de l'article de Valeurs Actuelles)

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6 juillet 2015 1 06 /07 /juillet /2015 20:49
"Il faut brûler la Conférence épiscopale !" : en Espagne, Podemos hurle sa haine anti-catholique

La « plateforme citoyenne » HazteOir rapporte que lors de la Gay Pride qui s’est récemment tenue à Séville, en Espagne, la formation d’extrême gauche Podemos a participé au défilé homosexualiste en chantant sur l’air de Oh when the saints : « Il faut brûler, il faut brûler, la conférence épiscopale ! » Le site publie une vidéo du groupe Podemos qui hurle sa haine anticatholique précédé d’une banderole arc-en-ciel.

 

Epousant sans réticence le combat du lobby LGBT, Podemos a révélé ainsi un peu davantage sa nature profonde. En Espagne, une telle attitude ne manque pas de renvoyer vers le passé : il y a moins d’un siècle, au moment de la Guerre civile, l’extrême gauche brûlait, torturait, massacrait des dizaines de milliers de prêtres et de religieuses. Il ne faut pas prendre à la légère ces manifestations de haine qui dépassent largement le cadre de l’humour potache.

 

L’extrême gauche disculpe ses militants qui appellent à brûler la Conférence épiscopale et les catholiques

 

Et ce d’autant que Podemos et ses alliés sont en train d’asseoir leur pouvoir en Espagne par leurs succès dans plusieurs grandes villes aux dernières municipales. Ces nouveaux édiles – comme Ada Colau, maire Podemos de Barcelone – se distinguent par leur refus de participer aux cérémonies religieuses. Il ne faut pas oublier non plus que dans plusieurs pays européens, on constate la montée de partis supposément « anti-système » ouvertement athées ou pratiquement acquis au rejet du pouvoir de Dieu sur la société, jouant leur partition dans la progression dialectique vers une Révolution totale.

 

HazteOir rappelle plusieurs faits similaires. Rita Maestre, porte-parole du nouveau maire de Madrid, Manuela Carmona, a reçu l’entier soutien de l’élue d’Ahora Madrid, dans la même mouvance de gauche anticapitaliste que Podemos, alors qu’elle a participé à une action féministe contre la chapelle catholique de l’université La Complutense de Madrid en 2011. Brandissant des portraits de Benoît XVI chargés de croix gammées, plusieurs femmes avaient envahi le chœur de la chapelle où priaient des étudiants en hurlant des insultes contre les catholiques. « Vous brûlerez comme en 36 ! », criaient-elles. Puis elles s’étaient dénudé la poitrine avant de quitter les lieux en criant : « Nous allons brûler la Conférence épiscopale. » Le 16 juin dernier, le procureur de Madrid a demandé un an de prison à l’encontre de la jeune femme pour cette atteinte aux sentiments religieux des catholiques. C’est dans ce contexte que Manuela Carmona a dit tout son soutien à Maestre qui prétend avoir participé à une « manifestations pacifique pour le laïcisme ».

 

En Espagne, Podemos et Ahora Madrid manifestent leur haine anticatholique

 

Si des élus et des porte-paroles des mouvements d’extrême gauche espagnols donnent aujourd’hui libre cours à leur haine anticatholique, c’est bien que cette haine fait partie de leur idéologie. En janvier dernier, c’est le leader de Podemos, Pablo Iglesias, qui refusait de condamner l’un des ses compagnons de route auteur d’un tweet tout aussi incendiaire. Facu Diaz écrivait : « Brûler des églises me paraît barbare s’il n’y a personne à l’intérieur. » Il est sous le coup de poursuites pénales, mais Iglesias – le mal nommé – a ajouté de l’huile sur le feu en tweetant à son tour : « Fier des humoristes critiques et sans bâillon comme @FacuDiaz et que vive la liberté d’expression que les totalitaires voudraient limiter. »

 

Pour un politique formé par Hugo Chavez dans un Venezuela qui ne brille pas par le respect de la liberté d’expression des opposants, les mots ne manquent pas d’ironie.

 

A Madrid, l’action d’Ahora Madrid aux commandes confirme cet état d’esprit. Rita Maestre – déjà citée – a reconnu que c’est à la demande d’une fonctionnaire de la mairie qu’une image de la Vierge a été retirée d’une maison de retraite du district de Moncloa-Aravaca juste avant la visite d’une élue municipale d’extrême gauche, Monserrat Galcerán, afin de ne pas « incommoder » celle-ci comme l’a expliqué la direction de la résidence.

 

Le laïcisme radical et totalitaire des mouvements comme Podemos est inscrit dans leurs gènes – et dans leurs programmes. Les formations d’extrême gauche en Espagne se sont engagées à ce que les symboles religieux soient tous retirés des espaces publics si leurs représentants arrivent au gouvernement ; les cours d’instruction religieuse seront supprimés et aussi les écoles catholiques. Quant à l’Eglise, elle perdrait son exemption fiscale qui lui permet aujourd’hui, à l’instar des associations reconnues d’utilité publique, des fondations politiques et des ONG, de ne pas payer l’impôt sur les biens immobiliers.

 

Anne Dolhein

 

Source: « Il faut brûler la Conférence épiscopale ! » : en Espagne, Podemos hurle sa haine anti-catholique, Reinformation.Tv6 juillet 2015 16 h 00 min·

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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 22:59

Espagne-fera-t-elle-de-Barcelone-un-Donetsk.jpeg

Испания сделает из Барселоны Донецк?

 

(Essai de traduction Christ-Roi)

 

L'Espagne fera-t-elle de Barcelone un Donetsk?

 

PolitOnline.ru

 

16 septembre 2014

 

Le gouvernement espagnol est prêt à prendre toutes les mesures possibles pour empêcher la séparation de la Catalogne. Les autorités désirant l'autonomie tiennent le 9 Novembre un référendum sur la séparation de la Catalogne de l'Espagne.

 

"Il y a une ligne à ne pas franchir. Le gouvernement utilisera tous les moyens légaux à sa disposition pour empêcher l'exécution du référendum séparatiste, qui est contraire à l'ordre juridique espagnol, rejette la communauté internationale et qui aura des conséquences désastreuses pour la Catalogne, l'Espagne et l'Union européenne", - a déclaré le ministre espagnol des Affaires étrangères Jose Manuel Garcia-Margalit.

 

La question est de savoir si le nombre de suspension préventive de l'autonomie, Margalit a déclaré que les mécanismes de gouvernement "comprennent tout ce qui peut être utilisé pour faire une enquête nationale n'a pas eu lieu."

 

Comme il a déjà été mentionné, un référendum sur l'indépendance de la Catalogne est prévu le 9 Novembre. Il peut passer sous la forme d'un référendum ou sous la forme d'une enquête nationale. La Cour constitutionnelle de l'Espagne a déclaré le référendum illégitime. Le Premier ministre Mariano Rajoy et d'autres membres du gouvernement a également déclaré à plusieurs reprises qu'il ne reconnaîtrait pas les résultats.

 

Source: russian.rt.com

 

via politonline.ru http://www.politonline.ru/rssArticle/22690333.html

 

 

Article original :

 

http://www.politonline.ru/image/preview/rss_article/22690333_m.jpeg

Испания сделает из Барселоны Донецк?

 

2014.09.16 Вторник

 

Правительство Испании готово пойти на любые возможные меры, чтобы не допустить отделения Каталонии. Власти автономии хотят 9 ноября провести референдум об отделении Каталонии от Испании.

 

"Есть черта, которую нельзя переходить.

Правительство будет использовать все законные методы, доступные ему, чтобы не допустить проведения сепаратистского референдума, который противоречит испанской правовой системе, который отвергает международное сообщество и который будет иметь самые неблагоприятные последствия для Каталонии, Испании и Европейского Союза", - заявил глава испанского МИД Хосе Мануэль Гарсия-Маргальо.

 

На вопрос, входит ли в число превентивных мер приостановка статуса автономии, Маргальо ответил, что правительственные механизмы "включают всё, что можно использовать, чтобы этот общенародный опрос не состоялся".

 

Как уж отмечалось, референдум о независимости Каталонии назначен на 9 ноября. Причем он может пройти и в форме референдума или же в форме общенародного опроса. Конституционный суд Испании признал референдум нелегитимным. Премьер-министр страны Мариано Рахой и другие члены правительства также неоднократно заявляли, что не признают его результаты.

 

Источник: russian.rt.com

 

http://www.politonline.ru/rssArticle/22690333.html

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21 décembre 2013 6 21 /12 /décembre /2013 21:30

Importante victoire pour la Vie en Espagne où l'adoption d'un projet de loi, vendredi 20 décembre, limite les conditions de l'avortement.

 

 

L’Espagne limite le droit à l’avortement (Le Figaro Madame)

 

 

Avant son accession au pouvoir, en novembre 2011, le dirigeant espagnol conservateur Mariano Rajoy avait promis de revenir sur la légalisation votée par le gouvernement socialiste de José Luis Rodríguez Zapatero en 2010. Il a approuvé ce vendredi le projet de loi qui restreint l’accès à l'avortement.

En Espagne, la gauche et les associations féministes ne décolèrent pas et parlent de « retour en arrière de trente ans ».

 

Jusqu'en 1985, l'avortement était purement et simplement interdit. Puis, la loi a ouvert trois exceptions, en cas de viol, de malformation du fœtus et de danger pour la santé physique ou psychologique de la mère. Dans les faits, toutefois, des IVG ont été pratiquées assez largement, en invoquant le « risque psychologique pour la mère ».

 

Le gouvernement de droite revient donc, dans les grandes lignes, à la législation de 1985. Cette future loi fixe deux conditions pour autoriser l'avortement : « la première, que celui-ci soit nécessaire en raison d'un grave danger pour la vie ou la santé physique ou psychologique de la femme, et la deuxième, que la grossesse soit une conséquence d'un délit contre la liberté ou l'intégrité sexuelle de la femme », a expliqué le ministre de la Justice, Alberto Ruiz-Gallardón, à l'issue du Conseil des ministres.


La loi n'établira pas un délit pénal

 

Les mineures devront cependant obtenir une autorisation (depuis 2010, elles pouvaient avorter avec l’accord du médecin, sans consulter leurs parents). Il a enfin précisé qu’aucune femme n’irait en prison si elle avortait, comme c’était le cas avant 1985. « La loi voulue par le Parti populaire n'établira jamais un délit pénal contre la femme, qui est en fait une victime de l'avortement », a rappelé le ministre de la Justice.

 

Source : http://madame.lefigaro.fr/societe/lespagne-limite-droit-lavortement-201213-636152

 

Un projet de loi qui supprime "quasiment le droit à l'avortement en Espagne" pour Le Figaro : "Féministes et gauche dénoncent ce texte qui serait pourtant approuvé par près de la moitié de la population"

http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/21/01003-20131221ARTFIG00224-la-colere-des-espagnoles-apres-le-vote-contre-le-droit-a-l-avortement.php

 

Il faut cesser d'employer l'expression abusive de "droit à l'avortement" : l'assassinat n'est jamais "un droit" !...

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 16:46

Afin de réduire son déficit public, autour de 8 %, et une dette publique colossale qui pèse 90 % de son PIB (91% en septembre 2012 en France, NdCR.), le gouvernement espagnol de Rajoy préconise de vendre une partie de son patrimoine public.

Parc naturel de Los AlcornocalesLe patrimoine de l’Etat espagnol est constitué d’un ensemble très hétéroclite : 15 000 biens immobiliers dont des palais, des édifices historiques, mais aussi des terrains industriels, des lotissements qui ne sont pas terminés, des hectares de terres et des quartiers entiers, ainsi que des parcs naturels.

Les importantes difficultés budgétaires qui ont amené le gouvernement espagnol à faire des coupes dans la santé ou dans l’éducation, contraignent aujourd’hui celui-ci à tailler dans son patrimoine.

Au total, 30 % des biens de l’Etat sont mis en vente et cela pourrait rapporter 40 milliards d’euros d’ici 2015 selon une estimation optimiste, car beaucoup d’économistes tiennent à souligner qu’en cette période, les prix sont à la baisse et que cette opération sera moins "rentable" que prévue.

Par exemple, le parc naturel de Los Alcornocales, un immense massif forestier subtropical dans un territoire montagneux de 14 000 hectares, est mis en vente. Aucun nom ne circule, mais les futurs acquéreurs seront certainement des investisseurs allemands, russes ou chinois.


Sources : El Mundo / Le JDS

 

Pour rappel :

http://sectioncantonaleavonfontainebleau.parti-socialiste.fr/files/2012/03/Affiche-Hollande-9-avril-2012.jpg. "Changement c'est maintenant": La dette atteint 91 % du Produit intérieur brut (PIB), le gouvernement prétend qu'elle refluera après l'an prochain (29 septembre 2012)

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26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 18:54

http://fr.rian.ru/images/19615/22/196152241.jpgAlors que de nouvelles mesures d'austérité doivent être annoncées demain en Espagne (1), la manifestation contre la politique de l'austérité s'est transformée en émeute à Madrid, hier soir. Des balles de caoutchouc ont été tirées en direction des marcheurs près du parlement espagnol pour disperser la foule. (2) Video

La police a dispersé à coups de matraque les manifestants qui tentaient de prendre d'assaut le bâtiment du Congrès des députés (3) pour réclamer la démission des élus, la dissolution du parlement, du gouvernement, ainsi qu'une nouvelle constitution (4) aux cris de "démission",  "honte" et "nos mains sont nos armes".

 

Bilan : plus de 60 blessés (5)

 

Sources:

(1) http://fr.euronews.com/2012/09/26/violences-lors-de-manifestations-a-madrid-contre-l-austerite/

(2) http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2012/09/20120925-165336.html

(3) Video Ria Novosti : http://fr.rian.ru/video/20120926/196152264.html

(4) Video Bfm-Tv http://www.youtube.com/watch?v=gWOjvFEA-tk&list=UUXwDLMDV86ldKoFVc_g8P0g&feature=plcp

(5)  http://www.lemonde.fr/europe/video/2012/09/26/espagne-des-affrontements-entre-policiers-et-manifestants-font-plus-de-60-blesses_1765710_3214.html

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- Violents affrontements entre police et manifestants à Athènes et Madrid : quelles solutions ?

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 23:59

Mgr Demetrio Fernandez, Evêque de Cordoue, a expressément demandé de ne plus appeler "mosquée" la cathédrale de Cordoue. L'appel du prélat est à situer dans un contexte bien particulier: certains musulmans aimeraient pouvoir à nouveau utiliser la cathédrale.
Cathédrale ou mosquée, demande-t-on parfois. La réponse de Mgr Demetrio Fernandez est claire:

 

"Le monument mondialement connu est incontestablement une cathédrale: il est l'église principale du diocèse de Cordoue et le lieu où se trouve le siège de l'évêque. Ce sanctuaire est la cathédrale depuis huit siècles. Je n'ai rien contre si on la désigne par l'expression 'ancienne mosquée', mais je ne veux plus qu'on l'appelle simplement 'mosquée' car cela fait naître une confusion dans l'esprit de nombreux touristes."


Mgr Fernandez a également rappelé que lorsque les musulmans ont occupé la ville en 711, ils ont détruit l'ancienne basilique Saint-Vincent afin de construire une mosquée. Mais en 1236, à la suite de négociations fructueuses entre le roi Ferdinand III et les envahisseurs musulmans, la ville a été rendue aux chrétiens sans aucune effusion de sang.

Source: Kath.net via http://proliturgia.pagesperso-orange.fr/Informations.htm

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23 juillet 2010 5 23 /07 /juillet /2010 15:15
URDAIBAI

 

L'estuaire d'Urdaibai (fleuve de Mundaka), 12 douze kilomètres d'étendues de sable, est une réserve naturelle de Biscaye en Pays basque espagnol, déclarée réserve de la biosphère, c'est-à-dire zone protégée par l'UNESCO pour ses richesses écologiques (1984).

Des forêts de chênes verts côtoient des zones de végétation aquatique, ce qui rend compte de la valeur écologique de cette ria.

La ria d'Urdaibai constitue l'un des sites naturels les plus intéressants du Pays basque. Des montagnes relativement peu élevées, très escarpées cependant, donnent accès à une vallée qui débouche sur la mer Cantabrique en créant un large estuaire. La plaine cultivée se transforme en marais, tandis que sur la côte, les plages sont entrecoupées de falaises. Aussi, de nombreux biotypes et écosystèmes cohabitent-ils. En ce sens, un exemple remarquable de cette harmonie est la zone humide inscrite dans la Convention de Ramsar, classée Zone de protection spéciale des oiseaux. La diversité qui caractérise ce site se manifeste dans l'existence de forêts de chênes verts, de maquis, de landes, de rochers et de plantes aquatiques. Dans les régions où la main de l'homme est intervenue, il existe des plantations forestières, des prairies et des cultures abritant d'autres espèces animales et végétales. Parmi plus de 600 espèces que compte cette zone, les plantations de chênes verts cantabriques méritent une mention à part. En ce qui concerne la faune, la communauté la plus importante est constituée par des oiseaux, étant donné que cette zone humide est un endroit de passage pour de nombreux oiseaux migrateurs. Cette richesse ornithologique est due à la présence de nombreuses espèces d'oiseaux migrateurs rares dans la Péninsule Ibérique, comme le héron cendré, le cormoran, la spatule et un grand nombre de limicoles, des oiseaux qui se nourrissent avec des animaux qui vivent dans le limon et le sable. Plus de 300 vertébrés ont été répertoriés dans cette réserve de la biosphère. Parmi ceux-ci, mentionnons le vison d'Europe dont subsistent quelques rares exemplaires au Pays basque.

 

L'endroit présente plusieurs points d'intérêt comme, par exemple, randonnées dans les montagnes dominant la mer ; la pittoresque ville de Mundaka avec une des plages les plus connues d`Europe pour la pratique du Surf ; Bermeo, le centre de pêche le plus important de la corniche Cantabrique où l`on peut déguster des poissons et des coquillages exquis ; L'île de Saint Jean de Gaztelugatxe, îlot relié à la terre par un pont et une série interminable d'escaliers (230) surplombé d´une église  romane ; la ville de Guernika avec plusieurs bâtiments d'un grande valeur historique et artistique ; les grottes de Santimamiñe où se trouvent des peintures ancestrales d`une grande qualité; le Bois animé du peintre Ibarrola à Elantxobe, village où les maisons construites sur des pentes escarpées descendant vers le port en forme de cascade ; Lekeitio, un port de pêche et de plaisance et aussi une belle station balnéaire… En même temps, vous pourrez en profiter pour visiter la ville de Bilbao avec le Musée des Beaux Arts et le célèbre Musée Guggenheim.

 

Sources : 1, 2, 3

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5 juillet 2010 1 05 /07 /juillet /2010 11:21

San Juan de Gaztelugatxe (Basque: Gaztelugatxeko Doniene) est une petite île sur la côte de Biscaye appartenant à la ville de Bermeo, au Pays Basque espagnol (Biscaye). Elle est reliée au continent par un pont artificiel. Au sommet de l'île se trouve un ermitage dédié à Saint Jean Baptiste qui date du Xe siècle, bien que certaines découvertes indiquent qu'il date du IXe siècle. Avec une autre petite île voisine, Aketze, ils forment un biotope protégé, qui s'étend de la ville de Bakio jusqu'au cap Machichaco, sur le golfe de Gascogne.

Pour visiter San Juan de Gaztelugatxe, il y a plusieurs parkings sur une petite esplanade. Depuis l'escalier principal, on peut admirer ce qui ressemble à un chemin de croix. Depuis son sommet, les points de vue sur la côte et les falaises sont magnifiques.

Les meilleures saisons pour visiter l'île sont le printemps et l'automne, afin de profiter de la paix du lieu. En été, il est très fréquenté.

Étymologiquement le mot gaztelugatxe vient du basque gaztelu = "château" et aitz = "rocher", devenant donc le "Rocher du Château".

 

 

La côte Basque est abrupte dans cette région. La mer érode sans cesse la côte rocheuse et créé des tunnels, des grottes et des arches. L'île de San Juan de Gaztelugatxe est dans le cœur de cette section de la côte, avec la petite île Aketze (l'île aux lapins), un paradis pour les oiseaux marins.

La petite église, qui est généralement fermée, date du Xe siècle et semble venir de l'Ordre du Temple. En l'an 1053 elle fut donnée, par don Iñigo López, seigneur de Biscaye, au monastère de Saint Jean de la Peña près de Jaca en Huesca. Des sépultures médiévales datant du IXe au XIIe siècle ont été trouvées sur l'esplanade et dans l'ermitage.

L'emplacement stratégique du lieu lui a donné un rôle important dans divers épisodes historiques. Il fut l'un des endroit où le seigneur de Biscaye Juan Nuñez de Lara, affronta Alphonse XI, Roi de Castile, en 1334. En 1593 l'ermitage fut attaqué et mis à sac par Francis Drake. En 1594, l'île fut attaquée par des hérétiques de La Rochelle, qui l'ont saccagé et qui ont tué le gardien. Au XVIIIe siècle, elle a été agressée par les troupes anglaises, et pendant la guerre civile espagnole, la bataille navale de Matxitxako a eu lieu à proximité.

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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 12:45

MADRID, le 8 Mars 2010, (sources : Catolicidad et ACI).
Le site Missatridentinaemportugal rapporte les déclarations sans appel de SER Mgr. Juan Antonio Reig Plá, Evêque de Alcalá de Henares .
Extrait:
" le Roi Juan Carlos de España, avec la décision de signer en un acte privé la nouvelle loi qui libéralise dramatiquement l'avortement en Espagne , a coopéré activement avec le mal de l'avortement."
Le reste de la déclaration en espagnol sur le site ci-dessous. 

sur le site Messatridentinaemportugal via Le Forum catholique

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30 mai 2009 6 30 /05 /mai /2009 12:34

Kings of the Crown of Castile 1230-1516

Une vidéo de la Couronne de Castille et de ses rois, probablement une des couronnes les plus puissantes du Moyen âge. La Couronne de Castille commence son histoire après l'union des vieux royaumes de Castile et Léón en 1230 sous le roi Ferdinand III appelé le Saint.
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20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 00:01
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29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 13:31

Plusieurs centaines de milliers de personnes se sont réunies à Madrid ce dimanche. Une grand-messe était organisée à l’appel de l’Eglise catholique pour "défendre la famille traditionnelle", en présence de 37 évêques, a constaté l'AFP. L'archevêché de Madrid qui organisait le rassemblement, a fait état d'un million de personnes mais la municipalité n'a pas confirmé ce chiffre.

Ce rassemblement fait suite à une cérémonie de même type, organisée le 30 décembre 2007. Une manifestation semblable avait réuni des dizaines de milliers de personnes -plus d'un million selon les organisateurs- place Colon l'an dernier.

Dans un pays à majorité catholique, l'église ne décolère pas contre le gouvernement socialiste Zapatero qui a légalisé le mariage entre personnes du même sexe, facilité la procédure de divorce et inscrit l'homosexualité ainsi que le mariage homosexuel au programme scolaire.

Le cardinal-archevêque de Madrid a lancé un appel contre l’avortement. Une nouvelle loi sur ce sujet doit être présentée au Parlement espagnol au premier semestre 2009. Actuellement cette pratique n’est possible qu’en cas de viol, de malformation du foetus ou de danger pour la mère.

L’Eglise catholique reproche au gouvernement de José Luis Rodriguez Zapatero la légalisation du mariage homosexuel en 2005. L'évêque de Bilbao, Ricardo Blazquez a critiqué le fait «d'appeler 'mariage' l'union entre deux personnes de même sexe» alors que la «famille normale» est constituée de «l'union stable (...) d'un homme et d'une femme».

Dans ce rapport de force, le Pape Benoit XVI a adressé un message de soutien aux manifestants retransmis hier sur grand écran. "Chère familles, ne laissez pas se dénaturer l'amour, l'ouverture à la vie et les liens incomparables qui unissent votre foyer", a déclaré le pape lors de la traditionnelle prière de l'Angélus.

Le cardinal-archevêque de Madrid, Antonio Maria Rouco Varela, a lancé un appel contre l'avortement, invitant les familles à vaincre «la culture de la mort».

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28 décembre 2006 4 28 /12 /décembre /2006 17:18

MADRID, 28 déc 2006 (AFP) - Refus d'ouvrir la cathédrale de Cordoue, une ex-mosquée, aux musulmans
L'évêque de Cordoue (Andalousie, sud), Mgr Juan José Asenjo, a décidé de refuser d'ouvrir sa cathédrale, une ex-mosquée, aux prières des musulmans, selon la presse espagnole de jeudi.

L'évêque andalou a ainsi réagi à une demande exprimée de longue date par la communauté musulmane espagnole, et récemment réitérée dans une lettre adressée au pape Benoît XVI, à savoir que la Grande Mosquée de Cordoue devienne un lieu de prière oecuménique.

L'évêque s'oppose au partage de la mosquée-cathédrale, considérant que cette situation "génèrerait de la confusion parmi les fidèles" et qu'elle ne "contribuerait pas à une cohabitation pacifique entre les croyants", écrit le quotidien ABC.

"Nous, chrétiens de Cordoue, souhaitons vivre en paix avec les croyants d'autres religions, mais nous ne souhaitons pas être soumis à des pressions continues qui ne contribuent pas à la concorde", a expliqué l'évêché, cité par ABC.

L'évêque a aussi tenu à préciser que l'édifice, chef-d'oeuvre de l'architecture omeyyade (785-987), convertie en cathédrale en 1236 pendant la Reconquête chrétienne, avait été construite sur les ruines d'une basilique wisigothe, précise El Pais.

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