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3 janvier 2022 1 03 /01 /janvier /2022 14:28

Le directeur de la compagnie d'assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, a déclaré que le taux de mortalité avait augmenté de 40 % par rapport aux niveaux antérieurs à la pandémie chez les personnes en âge de travailler. 

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3 janvier 2022 1 03 /01 /janvier /2022 14:23

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1 janvier 2022 6 01 /01 /janvier /2022 18:36

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30 décembre 2021 4 30 /12 /décembre /2021 20:38

Ces données de l’Institut Robert Koch montrent que le variant Omicron qui est en train de devenir dominant atteint en priorité les personnes vaccinées. De ce fait, les mesures discriminatoires à l’encontre des non ou des incomplètement vaccinés doivent être abolies d’urgence.

____________________

Mickael, Un infirmier sur le Var témoigne sur RMC : "Je commence à perdre foi sur la vaccination. Ma collègue qui est en trois doses, qui a vacciné toute sa famille, ils sont tous positifs avec des symptomes, des courbatures, de la fièvre, le nez qui coule... Le bémol que je mets c'est sur le pass vaccinal. Le vrai problème est que les vaccinés contaminent aussi. La diffusion actuelle ne se fait pas que par les non vaccinés, elle se fait essentiellement par les vaccinés aujourd'hui."

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30 décembre 2021 4 30 /12 /décembre /2021 19:22
Source: https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/israel-la-quatrieme-dose-du-vaccin-anti-covid-suspendue-1375396

Source: https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/israel-la-quatrieme-dose-du-vaccin-anti-covid-suspendue-1375396

Annoncée la semaine dernière, la quatrième dose est suspendue jusqu'à nouvel ordre, sauf pour les immuno-déprimés. Le directeur général du ministère de la Santé, Nachman Ash, attend les résultats d'études. Si Omicron est moins grave que les souches précédentes, il pourrait favoriser l'immunité collective.

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29 décembre 2021 3 29 /12 /décembre /2021 12:43

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29 décembre 2021 3 29 /12 /décembre /2021 12:18

Marc Eynaud, journaliste sur C-News : "On a plus de suicides d’enfants liés aux contraintes sanitaires que d’enfants morts du Covid en France."

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28 décembre 2021 2 28 /12 /décembre /2021 09:39
Martin Blachier : "Ces gens-là sont des fanatiques !"

Le docteur Martin Blachier sur LCI parle des "fanatiques" à propos des auteurs d'une tribune intitulée "Covid-19 : 50 personnels de santé alertent Olivier Véran sur la circulation du virus chez les enfants" :

 

"Une semaine de bronchiolite chez des enfants de 0 à deux ans, cela fait 2000 hospitalisations, avec un grand nombre qui partent en réanimation. C'est-à-dire que le phénomène Covid chez les enfants de 0 à 10 ans est 20 fois moins important qu'un phénomène bronchiolite qui se passe tous les ans et sur lesquels les services d'enfants sont engorgés. C'est-à-dire que ce type de tribune, pour moi, ce sont des tribunes de fanatiques. Ce sont des gens décalés de la réalité.

"Il y a un certain nombre de médecins, y compris parmi ceux qui ont signé cette tribune, et ce sont toujours les mêmes, qui ont une position qui est fanatique. C'est-à-dire qu'on décorrèle complètement la réalité du phénomène avec le ton employé dans cette tribune, en disant '... c'est extrêmement grave ce qui va arriver pour vos enfants, le gouvernement met en danger la santé de vos enfants et il faut à tout prix ne pas les envoyer à l'école'. C'est du fanatisme. C'est-à-dire que l'on fait peur aux gens, sur des choses totalement irrationnelles.

"J'ai été regardé le dernier rapport du CDC américain sur le rôle des écoles dans la contamination. Il dit noir sur blanc - et c'est la référence mondiale -, toutes les études qui ont étudié la fermeture des écoles ont montré que cela n'avait pas d'impact sur les courbes épidémiques avant. Et quand les écoles réouvrent, cela ne fait pas réaugmenter l'épidémie. C'est le rapport K12 du CDC. 

"Je vous mets en relation ce qui se passe avec le Covid et ce qui se passe avec la bronchiolite qui n'a jamais fermé aucune crèche depuis des dizaines d'années que cela existe : ces gens-là sont des fanatiques, ils ne s'arrêteront jamais. Et vous verrez que quand on dira que la vague Omicron n'emmène pas les gens en service de réanimation, de quoi ils vont vous parler ? Des Covids longs. Parce que ce sera leur dernière carte à dire pour dire qu'il faut tout fermer pour ne pas laisser ce virus circuler.

"Dans cette tribune, ces fanatiques osent dire la chose suivante : c'est à Olivier Véran de déterminer comment se passera la rentrée scolaire. Ce n'est plus à Jean-Michel Blanquer (le ministre de l'Education nationale. Ndlr.) Donc moi, à ces fanatiques, je suggère que cela soit Olivier Véran qui gère l'économie, l'armée, le sport. Puisque tout tourne autour du Covid, qu'il gère l'intégralité de la vie française, qu'il devienne même maintenant Premier ministre puisqu'il a réussi visiblement à convertir le Premier ministre à sa ligne. Non seulement c'est mauvais sur le fond mais ils appellent Olivier Véran qu'il prenne en main, Jean-Michel Blanquer, qu'il soit en somme démis de ses fonctions, puisque ce qui compte c'est que ce soit la santé qui prenne la main sur l'école."

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 12:07
Le nombre de malades COVID de la "première vague" est 10x inférieur à celui de la grippe de 2014-2015 (Laurent Toubiana, INSERM)

Au Conseil scientifique Indépendant, le 16 décembre 2021, Laurent Toubiana, chercheur à l’Inserm, compare l’incidence des malades du COVID à l’incidence des malades de la grippe des 7 dernières années. 

 

Le nombre de malades COVID de la "première vague" est 10x inférieur à celui de la grippe de 2014-2015.

Réunion publique n°36 du Conseil Scientifique Indépendant du Jeudi 16 décembre 2021

Vidéo complète

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 09:49
https://www.aimsib.org/2021/12/25/refutation-des-arguments-scientifiques-justifiant-le-passe-vaccinal/

https://www.aimsib.org/2021/12/25/refutation-des-arguments-scientifiques-justifiant-le-passe-vaccinal/

Un « Projet de loi renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire NOR : PRMX2138186L/Rose-1 » sera déposé début janvier devant le parlement. Il s’agit d’établir un passe vaccinal à la place du pass sanitaire.

L’exposé des motifs est critiquable scientifiquement.

Ce projet repose sur la supposée explosion des « cas » : ces cas ne sont pas des malades et nous ne sommes donc pas en période épidémique.

Le projet de loi reconnaît que les vaccins présentent une efficacité diminuée avec le temps et que les rappels sont de nature à la rétablir ; cependant les nombreuses données récentes montrent l’inefficacité de ce rappel contre les variants actuellement circulants : les données de neutralisation des variants au laboratoire ainsi que d’efficacité constatée en « vie réelle » vont dans le même sens et montrent une efficacité nulle ou parfois même négative (augmentation de la susceptibilité des vaccinés au variant Omicron).

De plus le variant Omicron en circulation actuellement semble moins pathogène que les précédents, suivant en cela l’atténuation attendue des virus à ARN (1)

Enfin comme le montre Pierre Chaillot dans le document joint la Covid-19 ne sature pas les hôpitaux en cette fin 2021 («Non, les non-vaccinés ne saturent pas les réanimations »).

L’instauration de ce passe vaccinal n’est donc aucunement justifiée scientifiquement.

 

Incidence et nombre de « cas » versus nombre de malades

Argument : “L’incidence, mesurée sur sept jours consécutifs, a constamment augmenté depuis octobre et dépasse désormais 530 cas pour 100 000 habitants, soit un niveau jamais mesuré depuis le début de l’épidémie.”

L’incidence de « cas » ne correspond pas à un nombre de malades comme l’explique Laurent Toubiana, épidémiologiste INSERM, directeur de l’IRSAN (2)

Le nombre de cas positifs est en effet élevé en cette fin d’année car on teste beaucoup, mais le taux de positivité n’est pas très élevé (3). Au 13 décembre le taux de positivité était de 7,3% (contre 16% en novembre 2020), 1 078 745 tests effectués ont été effectués ce même jour (plus que le maximum atteint en aout 2021).

Le nombre de positifs oscille entre 88 000 et 13 000 par jour ce qui correspond à une fourchette de 616 000 à 91 000 par semaine. Ce nombre de cas est à opposer au nombre de malades de la Covid estimé à 39/100 000 par semaine selon Sentinelles.

Une épidémie de grippe classique est caractérisée par un nombre de malades compris entre 300 et 800/100 000 habitants par semaine 4.

D’après le réseau Sentinelles en semaine 50 de 2021 ce nombre de malades de la Covid était estimé à 39/100 000 habitants. Ce chiffre ne justifie pas une quasi obligation vaccinale sous-forme de passe vaccinal.

Sentinelles semaine 50 du 13 au 19 décembre 2021(5)

IRA 173 malades /100 000 hab par semaine dont 39 Covid/100 000 hab par semaine

Virus isolés des malades d’IRA : 10% de SARS-CoV-2 et 28% de virus grippal, 2,8% rhinovirus, 6,1% Virus respiratoire syncytial et 12,2% de metapneumovirus

 

Efficacité vaccinale diminuée

 

Argument : « L’efficacité de la protection conférée par la vaccination tend en outre à diminuer avec le temps, ce qui rend nécessaire l’injection d’une dose de rappel pour maintenir une immunité suffisante»

 

En effet les données récentes confirment cette baisse de la protection vaccinale avec le temps et montrent de plus l’inefficacité de la 3ème dose contre le variant Omicron

 

Selon l’analyse des données du ministère israélien (6) sur les tests sur les passagers de l’aéroport national, publiée le 1er novembre 2021, la 3è dose est inefficace pour prévenir la diffusion de l’épidémie et expose les individus à des risques élevés de contamination.

Selon un communiqué de Pfizer-BioNTech (7), le fabricant « croit que les vaccinés pourraient être protégés des formes graves dues à Omicron et contrôle en vie réelle l’efficacité de la 3è dose », pour justifier cette croyance du sang de vacciné a été recueilli 1 mois seulement après la 3è dose et 3 semaines après la 2de dose, et testé sur le variant Omicron. On sait maintenant que quelques mois après la seconde dose le vaccin devient inefficace contre Omicron (voir références ci-dessous). Comment espérer qu’il en soit autrement avec la 3è dose puisqu’après un intervalle aussi court que 3 semaines ou un mois après l’injection l’effet neutralisant sur omicron est identique après la 2de ou la 3è dose. Il n’y a aucune justification scientifique à supposer que le vaccin reste efficace après la 3è dose alors qu’il ne l’est plus après la 2de. D’ailleurs Pfizer précise que la persistance de la neutralisation de Omicron par le booster va être surveillée dans l’avenir.

 

Echappement de Omicron au vaccin : études de laboratoire sur la neutralisation du virus par les anticorps vaccinaux

De nombreuses publications montrent l’ échappement du variant Omicron aux vaccins (une virologiste allemande sur twitter (8) : « nos premières données sur la neutralisation d’Omicron versus Delta sont prêtes : avec 2 doses de Pfizer, 2 doses Moderna, ou 1 dose Astra-Z et 1 dose Biontech ; après 6 mois 0% de neutralisation de Omicron,

Après la 3è dose de Pfizer, 3 mois après le booster seulement 25% de neutralisation versus 95% chez Delta. Jusqu’à 37 fois la réduction Delta vs. Omicron ». Ce travail a été publié depuis (9).

D’autres publications montrent la même diminution drastique du pouvoir neutralisant des anticorps vaccinaux in vitro (10)

 

L’efficacité des vaccins est faible contre le variant Omicron

Argument « Le contexte épidémique est enfin marqué par l’apparition du variant Omicron, d’ores et déjà présent sur le territoire national et dont les premières études révèlent une contagiosité nettement supérieure à celle des autres souches en circulation, ainsi qu’un échappement immunitaire au moins partiel, même si les vaccins à acide ribonucléique messager semblent continuer à procurer une protection significative contre les formes graves, en particulier après l’injection d’une dose de rappel. »

 

Les vaccins (y compris la 3è dose) ont une faible efficacité sur Omicron.

L’efficacité disparaît avec le temps (elle commence à diminuer au bout du premier mois)

Selon le Rapport officiel du gouvernement Britannique (11), après la dose de rappel, l’efficacité contre omicron est plus faible 2 semaines après l’injection comparée à celle contre delta.

Selon un rapport officiel hollandais (12), il est noté une réduction de la protection conférée par l’infection ou la vaccination contre le portage de Omicron. Les vaccinés et les primo-infectés sont plus à risque d’être porteurs de Omicron que les personnes non vaccinées et jamais infectées.

Encore une fois (comme dans quasiment toutes les études) seuls les vaccinés depuis plus de 14 jours (ou 28 pour Janssen) sont comptabilisés : il n’y a pas de données pour les fraîchement vaccinés!

 

Selon les statistiques officielles du gouvernement Ecossais (13), les données montrent (page 35) une augmentation du risque d’être infecté avec un nombre croissant de doses de vaccin : chez les non vaccinés : 0,63% de cas positifs Covid, chez ceux qui ont reçu 1 dose : 0,76% de cas positifs et 0,94% chez des doublement vaccinés, après le booster 0,20% de cas positifs (mais ces données sont extraites qq semaines seulement après la 3è doses et il faut tenir compte de la diminution de l’immunité vaccinale avec le temps)

 

Selon l’Université d’Edinburgh (14), l’efficacité de la 2è dose vis à vis de Omicron est nulle au bout de 25 semaines (8 mois) et elle est comparable 2 semaines après la 3è dose (56%) et 2 semaines après la 2de (53%) chez les 16-49 ans. Chez les plus de 50 ans, l’efficacité est quasi nulle 2 semaines après la 2de dose et elle est de 57% 2 semaines après le booster.

Une étude danoise (15) montre une efficacité « négative » à 3 mois vis à vis de Omicron (c’est à dire une plus grande susceptibilité à l’infection) après de 2 doses. La durée de l’efficacité de la 2de dose est de 1 mois vis à vis de Omicron (3 mois pour delta) et le booster (3è dose) n’a plus que 50% d’efficacité au bout d’un mois sur Omicron.

Une étude récente sur une flambée épidémique aux Îles Féroé (16) montre une contamination par omicron avec un taux d’attaque de 63% parmi des triple vaccinés et testés négatifs dans les précédentes 36 heures.

Tous ont eu des symptômes bénins résolus au maximum dans les 9 jours après une incubation de 2 à 6 jours. Les Iles Féroé possèdent une des plus fortes capacités de tests au monde.

 

Une publication d’eurosurveillance.org (17) fait état d’une flambée épidémique en Norvège fin novembre suite à un rassemblement festif. Le taux d’attaque de Omicron était de 74% parmi des personnes vaccinées à 96% ; la plupart ont développé des symptômes bénins et aucune hospitalisation n’a été notifiée.

 

Selon une autre publication d’eurosurveillance.org qui recense les cas de Omicron observés au Danemark (18), 85,5% des contaminés avaient reçu au moins une dose de vaccin, 76% étaient vaccinés 2 doses et 7,1% avaient reçu le booster : 83% étaient complètement vaccinés. Aucun enfant n’a été contaminé (les enfants ne sont pas vaccinés et étaient pourtant présents dans les chaînes de contamination). La majorité des cas ont rapporté des symptômes, 9 furent hospitalisés (dont 1 en soins intensifs) et aucun décès n’a été enregistré.

Le Danemark a une des plus fortes capacités de testing dans le monde. Cette étude conclue à « une augmentation et une propagation rapides du variant Omicron au Danemark, un pays européen doté d’une grande capacité de dépistage, d’une couverture vaccinale élevée et d’une immunité naturelle limitée par l’infection par le SRAS-CoV-2. L’introduction et la propagation se sont produites en dépit d’une réponse de santé publique précoce et complète. »

 

Selon le PDG de Moderna (19), le français Stéphane Bancel, les vaccins devraient être peu efficaces contre Omicron.

 

Le variant Omicron semble moins pathogène que les précédents

 

Voir l’interview d’un médecin sud-africain (20) résumée en français : Omicron est bénin, ne donne pas de symptômes respiratoires ni d’hospitalisation, le vaccin est inutile car il est censé protéger des formes graves qui n’existent pas avec Omicron !

 

Selon l’Université d’Edinburgh (21) , il y a très peu d’admissions à l’hôpital avec Omicron en comparaison du variant delta.

Selon le rapport britannique officiel du 3 décembre 202122, aucune hospitalisation ni aucun décès n’ont été notifiés en liaison avec Omircron.

 

Selon le rapport officiel sud-africain du 2 décembre (23), le Omicron progresse rapidement mais n’entraîne pas d’augmentation des cas de pneumonies et pas de décès ; la majorité des cas hospitalisés le sont pour des motifs indépendants de la Covid et le Omicron n’est découvert chez qu’à la faveur de tests systématiques.

Les études précédentes des paragraphes montrant l’inefficacité des vaccins soulignent toutes également la bénignité de Omicron.

 

RÉFÉRENCES

 

1 Evolution of SARS-CoV-2: review of mutations, role of the host immune system Banoun H, Nephron (2021 Apr 28:1-12)

https://www.karger.com/Article/Abstract/515417

 

2 http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/159-Analyse-17-novembre-2021-:-la-cinqui%C3%A8me-vague-un-feuilleton-qui-a-trop-dur%C3%A9

 

3 https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=0&i=sp_pos_quot.tx_pos_quot&s=2021-12-20&t=a01&view=map2

 

4 http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/164-Analyse-du-28-novembre-2021-:-La-vaccination-obligatoire-:-l%E2%80%99ultime-violence-faite-aux-populations

 

5 https://www.sentiweb.fr/document/5490

 

6 Green Pass and COVID-19 Vaccine Booster Shots in Israel – A More ‘Realistic’ Empirical Assessment Analyzing the National Airport Data, https://papers.ssrn.com/abstract=3963606)

 

7 https://www.pfizer.com/news/press-release/press-release-detail/pfizer-and-biontech-provide-update-omicron-variant

 

8 https://twitter.com/CiesekSandra/status/1468465347519041539

 

9 https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.07.21267432v2

 

10 Broadly neutralizing antibodies overcome SARS-CoV-2 Omicron antigenic shift, https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.12.472269v2,

Pseudotyped SARS-CoV-2 Omicron variant exhibits significant escape from neutralization induced by a third booster dose of vaccination, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.17.21267961v1

Reduced Neutralization of SARS-CoV-2 Omicron Variant by Vaccine Sera and monoclonal antibodies, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.07.21267432v2 , réduction importante de la neutralisation de Omicron après la 3è dose

SARS-CoV-2 Omicron has extensive but incomplete escape of Pfizer BNT162b2 elicited neutralization and requires ACE2 for infection, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.08.21267417v1

Striking Antibody Evasion Manifested by the Omicron Variant of SARS-CoV-2, https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.12.14.472719v1

Omicron extensively but incompletely escapes Pfizer BNT162b2 neutralization

https://www.nature.com/articles/d41586-021-03824-5 Neutralization of ancestral virus was much higher in infected and vaccinated versus vaccinated only participants but both groups showed a 22-fold escape from vaccine elicited neutralization by the Omicron variant

 

Striking antibody evasion manifested by the Omicron variant of SARS-CoV-2

https://www.nature.com/articles/d41586-021-03826-3

 

11 COVID-19 vaccine surveillance report – week 50, https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1041593/Vaccine-surveillance-report-week-50.pdf

 

12 Increased risk of infection with SARS-CoV-2 Omicron compared to Delta in vaccinated and previously infected individuals, the Netherlands, 22 November to 19 December 2021, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.20.21268121v1

 

13 Public Health Scotland COVID-19 & Winter Statistical Report, https://publichealthscotland.scot/media/10930/21-12-22-covid19-winter_publication_report.pdf

 

14 Severity of Omicron variant of concern and vaccine effectiveness against symptomatic disease: national cohort with nested test negative design study in Scotland , https://www.research.ed.ac.uk/en/publications/severity-of-omicron-variant-of-concern-and-vaccine-effectiveness-

 

15 Vaccine effectiveness against SARS-CoV-2 infection with the Omicron or Delta variants following a two-dose or booster BNT162b2 or mRNA-1273 vaccination series: A Danish cohort study, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.20.21267966v2

 

16 Omicron outbreak at a private gathering in the Faroe Islands, infecting 21 of 33 triple-vaccinated healthcare workers https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.12.22.21268021v1

 

17 Outbreak caused by the SARS-CoV-2 Omicron variant in Norway, November to December 2021

!https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.50.2101147

 

18 Epidemiological characterisation of the first 785 SARS-CoV-2 Omicron variant cases in Denmark, December 2021, https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2021.26.50.2101146

 

19 https://www.ft.com/content/27def1b9-b9c8-47a5-8e06-72e432e0838f

Moderna chief predicts existing vaccines will struggle with Omicron

 

20 https://covexit.com/entretien-dr-chetty-omicron/

 

21 Severity of Omicron variant of concern and vaccine effectiveness against symptomatic disease: national cohort with nested test negative design study in Scotland , https://www.research.ed.ac.uk/en/publications/severity-of-omicron-variant-of-concern-and-vaccine-effectiveness-

 

22 https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1038404/Technical_Briefing_30.pdf SARS-CoV-2 variants of concern and variants under investigation in England

 

23 Tshwane District Omicron Variant Patient Profile – Early Features

https://www.samrc.ac.za/news/tshwane-district-omicron-variant-patient-profile-early-features

 

Texte de Pierre Chaillot

 

Non, les non-vaccinés ne saturent pas les réanimations

Depuis le début du mois de décembre, les médias se sont mis d’accord pour accuser les non-vaccinés de saturer les hôpitaux et en particulier les réanimations. La mode est de donner le ratio de « 9 personnes hospitalisées sur 10 ne sont pas vaccinées ». Nous avons déjà montré dans les 2 vidéos précédentes réalisées à partir des rapports de l’ATIH que, ni les soins conventionnels des hôpitaux, ni les services de réanimations, n’ont jamais été saturés en 2020. C’est encore le cas en 2021. Malgré le fait que nous sommes en période hivernale et donc que les infections respiratoires, dont les coronavirus engendrent des hospitalisations, seuls 15 % des services de soins critiques sont utilisés par des patients catalogués Covid-19, et parmi eux, la moitié sont non vaccinés. Nous allons donc voir en détail que, non il n’y a toujours rien d’alarmant sur la situation hospitalière et non, les non vaccinés ne sont en rien responsables de la situation des hôpitaux. Seuls les choix politiques le sont.

Les hôpitaux ne sont pas saturés à cause de la Covid-19

Nous en avons déjà fait la démonstration dans les 2 vidéos précédentes grâce aux rapports de l’ATIH et à celui de la Cour des Comptes . Jamais pendant l’année 2020 l’hôpital français n’a été saturé à cause de la Covid-19. Les patients identifiés Covid-19 n’ont représenté que 2 % de l’activité, et l’hôpital a été en sous-charge toute l’année. Un très faible 2 %, alors que les déclarations Covid-19 l’ont été avec beaucoup de largesses pour des questions de facturation, il est en effet bien plus rentable pour l’hôpital de déclarer un patient comme infectieux, plutôt que pour la pathologie pour laquelle il est venu. Même les services de soins critiques ont été sous-utilisés et l’augmentation du recours aux services de réanimations est un trompe-l’œil uniquement dû à la requalification de lits de soins continus en lits de réanimations.

Aujourd’hui, chacun peut voir sur le site Géodes que 3 000 patients sont déclarés Covid-19 et admis en services de soins critiques . D’après les statistiques de ScanSanté, il y a 20 000 lits de soins critiques en France. Donc aujourd’hui, 15 % sont utilisés par des patients déclarés Covid-19 (Figure 1). On note d’ailleurs que le chiffre de 3 000 mis en avant pour les patients Covid-19 est le nombre de patients en soins critiques (soit l’addition du nombre de patients en services de soins continus, soins intensifs et réanimations), alors que le nombre mis en avant pour le nombre de lits disponibles est le nombre de lits en réanimations uniquement (donc 6 000 au lieu de 20 000) laissant ainsi croire à une saturation inexistante.

 

Figure 1 : Schématisation des lits de soins critiques en France selon le statut Covid-19

 

Rappelons que depuis presque 2 ans, les seules déclarations des hôpitaux d’infections respiratoires aiguës (IRA) sont celles de la Covid-19. Toutes les autres causes déclarées ont disparu et notamment les fameuses grippes. Il est donc tout à fait normal quand arrive l’hiver d’avoir des patients âgés arrivant à l’hôpital souffrant d’IRA. Cela ne s’arrêtera pas avec des piqûres préventives. Il n’est donc absolument pas crédible de faire croire à une situation exceptionnelle avec des statistiques aussi basses. La propagande actuelle n’a pas d’autre enjeu que d’imposer des injections répétées à toute la population quelle que soit la situation sanitaire. Il n’y a pas le moindre lien entre les deux. Le ministère de la Santé choisit donc habilement ses indicateurs pour continuer d’entretenir la peur sur un non-sujet en ciblant les non-vaccinés plutôt que de parler des moyens nécessaires au bon fonctionnement de l’hôpital.

Les non vaccinés ne saturent pas les hôpitaux

La pression médiatique fait toujours immédiatement suite aux communiqués de presse de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) du Ministère de la Santé. Celui de la mi-novembre avait pour titre « Neuf fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus » . Les médias ont évidemment mal traduit ce titre en faisant croire que « 9 personnes sur 10 en soins critiques sont non-vaccinés », ce qui n’a rien à voir. D’ailleurs, il suffit de lire le communiqué de presse pour le savoir : « Chez les personnes complètement vaccinées en revanche, le nombre d’entrées en soins critiques est en augmentation : il atteint 3 pour 1 million de personnes complètement vaccinées ; cette population représente 42 % des personnes admises en soins critiques et 48 % des personnes admises en hospitalisation conventionnelle alors qu’elle représente 86 % de la population des 20 ans ou plus. ». Il y a donc au mois d’octobre, presque autant de non-vaccinés que de vaccinés en soins critiques et pas du tout un ratio de 9/10. La répartition en soins critiques de 42 non-vaccinés pour 58 vaccinés a tendance à se rapprocher de 50/50 depuis novembre au regard des données de la DREES sur les entrées dans ces services. La tendance depuis 1 mois est de 46 vaccinés pour 54 non vaccinés (Figure 2).

Figure 2 : Schématisation des patients en soins critiques déclarés Covid-19 selon le statut vaccinal

 

Le ratio de la DREES de « 9 sur 10 » est un pur calcul théorique découlant de la part estimée du nombre de personnes vaccinées en France (Figure 3). D’après la DREES, il y aurait 86 % de vaccinés chez les plus de 20 ans.

Figure 3 : Schématisation du statut vaccinal dans la population française

 

Ainsi, la DREES utilise le fameux « produit en croix ». Elle suppose que si les ratios de soins critiques dans la population par statut vaccinal étaient conservés, et qu’il y avait autant de non vaccinés que de vaccinés, alors il y aurait 9 non-vaccinés sur 10 en soins critiques. Ce ratio ne reflète donc en rien la réalité observée en services de soins critiques.

Si nous ajoutons, que nous avons appris grâce au rapport de l’ATIH sur la Covid-19, qu’environ 20 % des patients déclarés Covid-19 sont en fait venu à l’hôpital pour une raison complètement différente, mais dont la codification « Covid-19 » permet à l’hôpital une facturation bien plus intéressante, nous pouvons alors schématiser la répartition actuelle en services de soins critiques : pour 100 lits disponibles, nous avons 15 patients identifiés « Covid-19 », 3 ne sont pas venus à l’hôpital pour cette raison, 6 sont venus pour cela et sont vaccinés, 6 sont venus pour cela et sont non-vaccinés.

Les patient Covid-19 non vaccinés venus pour Covid-19 représentent environ 6 % des lits en soins critiques à l’hôpital.

 

La conclusion est donc simple : non, les non-vaccinés ne sont en aucun cas responsable d’une quelconque saturation hospitalière. Leur nombre est bien trop faible à l’hôpital pour embouteiller quoi que ce soit.

Rappelons que les hôpitaux et services d’urgences étaient en grève quasi-continue depuis plusieurs années et jusqu’en 2020 pour dénoncer le manque de moyen humain et la gestion inhumaine et uniquement financière de l’hôpital depuis la mise en place de la tarification à l’acte par Jean Castex en 2007. En 2021 rien n’a changé mis à part la suppression de quelques dizaines de milliers de lits d’hôpitaux et la mise à pied sans solde de soignants récalcitrants aux injections expérimentales, dont on sait pertinemment aujourd’hui qu’ils ne garantissent pas du tout d’avoir des tests négatifs, ni même de ne pas être malade, ou de finir en service de réanimation. Mais, le gouvernement aujourd’hui se trouve un bouc-émissaire : les non-vaccinés, et fait croire à la population que pour gérer les problèmes de l’hôpital, il faut donner des milliards d’euros à des laboratoires pour qu’ils nous fassent des piqûres régulièrement. Ces mêmes labos qui ont des liens financiers très étroits avec nos politiques. La fuite en avant que nous constatons mène uniquement à cette question : jusqu’où peuvent-ils prendre les gens pour des abrutis avant qu’ils ne se réveillent ?

 

https://www.bfmtv.com/sante/les-personnes-non-vaccinees-representent-9-patients-sur-10-au-chu-de-nice_VN-202112160035.html

https://youtu.be/DP27OA-8bzE et https://youtu.be/DP27OA-8bzE

https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf et https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_mco.pdf

https://www.ccomptes.fr/fr/publications/les-soins-critiques

https://geodes.santepubliquefrance.fr/

https://data.drees.solidarites-sante.gouv.fr/explore/dataset/lits-de-reanimation-de-soins-intensifs-et-de-surveillance-continue-en-france/information/

https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/neuf-fois-plus-dentrees-en-soins-critiques-parmi-les-personnes-non-vaccinees

 

 

Auteur de l'article : Emma Kahn

 

Source : Association Internationale pour une médecin scientifique indépendante et bienveillante

 

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 09:48

La campagne "vaccinale" contre le Covid-19 a été lancée en France il y a tout juste un an. Pourtant, 2022 s’annonce sous les mêmes auspices que 2021. Le gouvernement agite les peurs en brandissant l’explosion de cas de contaminations, les médecins de plateaux TV annoncent toujours plus de patients en réanimation. Tous pointent un responsable importé d’Afrique du Sud : le variant Omicron.

 

Le docteur Christian Vélot, docteur en biologie, généticien moléculaire, nous explique les conséquences de la vaccination sur le virus du SarsCov2.

 

Des mutations aux recombinaisons virales, la vaccination de masse en période épidémique est-elle une solution rationnelle ?

 

Christian Vélot a été parmi les premiers il y a un an à alerter sur le risque de vacciner en pleine épidémie, notamment le risque de voir se multiplier les variants, que l'on appelle les recombinants.

 

Le propre d'un virus est d'évoluer, de varier pour échapper au système immunitaire.

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 09:42

L'épidémiologiste Laurent Toubiana sur CNEWS a déclaré : 

 

" Le nombre de malade est tombé hier par le réseau Sentinelle: le chiffre de malades c'est exactement 40 malades en une semaine pour 100 milles habitants. Et le réseau SOS Médecins, pour eux, c'est 33 malades en une semaine pour 100 000 habitants.

 

"Cela fait maintenant deux ans que l'on nous raconte la même chose. C'est la 5e fois qu'on nous raconte la même histoire et que l'on a exactement le même scénario.

 

"Les chiffres en admissions hospitalières de cette semaine sont exactement de 12,9 admissions à l'hôpital pour Covid en une semaine pour 100 milles habitants , et pour l'admission en soins critiques c'est 2,8 admissions en soins critiques pour 100 000 habitants

 

"100 000 habitants, cela fait beaucoup de monde; pour 100 000 habitants il y a 5800 lits d'hôpitaux. On a 12,9 admissions pour 100 000 habitants en une semaine et on a 5800 lits d'hôpitaux pour la même population."

 

Le chercheur de l'INSERM est à ce moment-là coupé par la journaliste de C-News : "Vous n'allez pas vous faire que des amis aujourd'hui en nous donnant ces chiffres."

 

"Le COVID coûte très chère aux français pour une épidémie qui n'en est pas une en réalité. Ella a été forte au début avec 140 malades pour 100 000 habitants, ce qui est une épidémie très banale. Voilà ce qu'est cette épidémie," répond Laurent Toubiana.

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 09:38
Source: https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/oppose-au-passe-vaccinal-le-syndicat-de-la-medecine-generale-denonce-une-potentielle-discrimination

Source: https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/oppose-au-passe-vaccinal-le-syndicat-de-la-medecine-generale-denonce-une-potentielle-discrimination

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26 décembre 2021 7 26 /12 /décembre /2021 09:35
Vaccination COVID et risque de mortalité toutes causes stratifié selon l'âge

Source: ResearchGATE

 

Vaccination COVID et risque de mortalité toutes causes confondues stratifié selon l'âge.

D’après cette simulation ce serait entre 146 000 à 187 000 américains qui seraient déjà mort des injections expérimentales !

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23 décembre 2021 4 23 /12 /décembre /2021 11:30

Mis à jour le 8 janvier 2022, avec le nombre de nouveaux cas confirmés Covid-19 au 6 janvier 2022 (Johns Hopkins University)

Tous vaccinés, tous contaminés !

Plus de 90 000 nouveaux cas en France en 24h, un record absolu depuis le début de la pandémie. La France a enregistré ce jeudi 91 608 cas positifs ces dernières 24 heures, soit un record absolu du nombre de contaminations quotidiennes depuis le début de la pandémie. (Le ProgrèsSud-Ouest)

Des annonces alarmistes. "Omicron sera majoritaire en France entre Noël et le Nouvel An" affirme Olivier Véran sur BFMTV ce mercredi 22 décembre. "D'ici à la fin du mois on attend plus de 100 000 contaminations par jour" (Midi Libre)

"Il y a plus de contaminations aujourd’hui alors que tout le monde est vacciné." Sur C-News, le journaliste Pascal Praud, animateur qui ces derniers mois s'est montré de plus en plus vaccino-sceptique quant à la narrative vaccinale sur le covid, est curieusement débarqué de l'émission lundi prochain (ce soir sera sa dernière émission dans l'émission qu'il anime "L'Heure des Pros").

Voici parmi d'autres très bonnes réflexions, réalistes et raisonnables de Pascal Praud, celle qui pourrait être la punch line de l'année :

"Vacciner tout le monde est une idéologie. Il n'y a pas d'enfant qui fasse de forme grave. Il y a plus de contaminations aujourd’hui alors que tout le monde est vacciné. Voici la définition d'un 'vaccin' dans le petit robert : substance pathogène qui inoculée à un individu lui confère l’immunité contre une maladie. Je n'ai rien d’autre à ajouter."

"Tous vaccinés, tous protégés" a été le slogan employé par le gouvernement pour encourager les gens à se "vacciner".

Puisque aujourd'hui nous avons plus de contaminations "alors que tout le monde est vacciné", ne devrait-on pas plutôt plutôt dire : "tous vaccinés, tous contaminés" ?! 

Il y a quelques jours, Pascal Praud avait déclaré quand au variant Omicron :

"Il (le docteur Martin Blachier) part des données danoises d'Omicron, des gens qui seraient contaminées (par le variant Covid Omicron). Omicron toucherait davantage les triples vaccinés (8%) que les non-vaccinés (1,2%). Omicron sélectionne les vaccinés car l'échappement vaccinal lui confère un avantage chez ces personnes. Cela c'est une étude danoise. Si l'on s'aperçoit que le virus Omicron touche plus les vaccinés que les non-vaccinés... (!) Je ne peux pas donner mon avis."

En fait, Pascal Praud en avait déjà dit trop ! Et nous soupçonnions alors qu'il serait bientôt débarqué. Chose faite malheureusement dès lundi prochain.. Le nom du remplaçant de Pascal Praud n’a pas encore été communiqué. Pays de la liberté d'expression...

Pour terminer, et pour contrebalancer la narrative alarmiste du gouvernement (visant à pousser les gens à se vacciner et à se revacciner), notons que le variant omicron a moins de risques d'entraîner des hospitalisations et des cas graves. (Forbes).   

"Doit-on avoir peur de la 5e 'vague'? La réponse est non." Alexandra Henrion-Caude.

Mise à jour le 26-12-2021.

Alors que le nombre de cas positifs augmente avec la diffusion d’#Omicron, le nombre d’hospitalisations diminue, confirmant la fin de la vague #Delta.

Mis à jour le 8 janvier 2022, avec le nombre de nouveaux cas confirmés Covid-19 au 6 janvier 2022 (Johns Hopkins University)

https://twitter.com/humb_ang/status/1479544443510439942

https://twitter.com/humb_ang/status/1479544443510439942

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23 décembre 2021 4 23 /12 /décembre /2021 10:51
Source : https://lozierinstitute.org/update-covid-19-vaccine-candidates-and-abortion-derived-cell-lines/

Source : https://lozierinstitute.org/update-covid-19-vaccine-candidates-and-abortion-derived-cell-lines/

Le vaccin Novavax, fabriqué par le laboratoire "Novavax" (une société basée à Gaithersburg dans l'État du Maryland aux États-Unis) a été approuvé lundi 20 décembre par l'agence européenne des médicaments, le cinquième autorisé par la Commission européenne, qui "pourra être utilisé dans l'ensemble des pays de l'Union européenne qui en font le choix".

Ce vaccin utilise la technologie classique à particules virales. L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a détaillé le contenu de ce vaccin. Il contient des "fragments de microbe purifiés" à concentration suffisante pour une production correcte d'anticorps. 

Les doses de Novavax sont déjà autorisées en Indonésie, c'est le premier pays qui l'a autorisé. Les Philippines ont aussi accordé une autorisation pour son administration en urgence. Les Etats-Unis et le Royaume-Uni pourraient eux-aussi l'autoriser dans les semaines ou les jours à venir. (Midi Libre)

À la différence des vaccins développés par Pfizer/BioNTech et Moderna, qui font usage de la technologie à ARN messager, le vaccin de Novavax est un vaccin dit « sous-unitaire », confectionné à base de protéines qui déclenchent une réponse immunitaire, sans virus. Une technologie déjà éprouvée sur des vaccins utilisés depuis de nombreuses années, à l’instar du vaccin contre l’hépatite B, ou encore de celui contre la coqueluche. Concrètement, « ce vaccin produit une protéine Spike similaire à celle qui est produite par le Sars Cov2, et la distribue à l’aide d’un adjuvant constitué d’un mélange de lipides qui va venir stimuler la protéine sous forme de petites billes », nous explique Stéphane Paul, immunologue au CHU de Saint-Etienne et membre du comité scientifique des vaccins contre le Covid-19. « L’avantage d’une telle technologie, c’est qu’elle a fait ses preuves depuis bien longtemps, et qu’elle peut donc susciter moins de défiance que les vaccins à ARN messager », indique encore l’immunologue. Sa technologie étant « plus classique » et suscitant moins de défiance, le vaccin de Novavax pourrait également être utilisé pour convaincre les 5 millions d’adultes éligibles à la vaccination qui refusent toujours de recevoir leurs premières doses. « Je ne sais pas si ça aura un impact réel, mais c’est une alternative et une proposition qui peut être faite, notamment aux Antilles, où la vaccination pose toujours problème », analyse-t-il, selon une information Le Parisien.

La réponse a été donnée par Olivier Véran sur Bfmtv le 22 décembre. Celui-ci ne croit pas au vaccin Novavax"on vaccine en Arn messager. C'est honnêtement le plus efficace à date," a-t-il déclaré.  

 

Rappelons pour les craignants-Dieu que Novavax est favriqué à partir de cellules de foetus avortés, selon ce qu'en rapporte le tableau de l'Institut Charlotte Lozier répertoriant les vaccins ne faisant usage de lignées de cellules foetales dans aucune des trois étapes de l'élaboration d'un vaccin (IEB).

Nous recommandons d’éviter les vaccins qui utilisent ces cellules de fœtus avortés de manière plus ou moins importante et à différents stades pour leur conception et développement, au cours de leur production industrielle, ou à l’occasion des tests de contrôles en laboratoire, nécessaires en cours de production, particulièrement ceux utilisant des cellules de fœtus avortés dès le stade de leur conception voire à tous les stades, en particulier : le vaccin de ASTRA ZENECA et OXFORD et celui de JANSSEN et JOHNSON & JOHNSON.

Mais il s'agit aussi d'éviter des vaccins qui utilisent des cellules provenant de fœtus avortés de manière moins importante ou à un degré modéré : c’est le cas, pour les vaccins des laboratoires PFIZER & BioNTech (COMIRNATY) et MODERNA (COVID-19 VACCINE MODERNA).

Ces quatre vaccins sont ceux qui sont actuellement utilisés en France.

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21 décembre 2021 2 21 /12 /décembre /2021 08:54

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18 décembre 2021 6 18 /12 /décembre /2021 13:44

"On peut discuter de tout sauf des chiffres"... 

 

Voici un petit comparatif du nombre de patients en réanimation entre le 18/12/2020 à un moment où il n’y avait encore de vaccin et le 17/12/2021 à un moment où 80% de la population est vaccinée.

Je vous laisse tirer vos propres conclusions. Cela semble assez évident.

 

Le 18 décembre 2020, sans vaccination : 2764 Réa

Comparatif du nombre de patients en réa entre le 18/12/2020 à un moment où il n’y avait pas encore de vaccin et le 17/12/2021 avec 80% de la population vaccinée

Un an plus tard, le 17 décembre 2021 avec 80% de vaccinés : 2901 Réa.

 

Il y a plus de réanimations un après avec la vaccination qu'il y a un an sans vaccination. Le vaccin ne sert donc à rien.

Comparatif du nombre de patients en réa entre le 18/12/2020 à un moment où il n’y avait pas encore de vaccin et le 17/12/2021 avec 80% de la population vaccinée

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15 décembre 2021 3 15 /12 /décembre /2021 16:32

Dans cette vidéo, le président russe Vladimir Poutine demande justement : "Quels intérêts l'UE protège-t-elle, l'intérêt de certaines sociétés pharmaceutiques ou l'intérêt des citoyens ?"

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15 décembre 2021 3 15 /12 /décembre /2021 10:18

Commentaire de Pascal Praud, C-News, citant le docteur Martin Blachier : " 

 

"Il (le docteur Martin Blachier) part des données danoises d'Omicron, des gens qui seraient contaminées (par le variant Covid Omicron). Omicron toucherait davantage les triples vaccinés (8%) que les non-vaccinés (1,2%). Omicron sélectionne les vaccinés car l'échappement vaccinal lui confère un avantage chez ces personnes.

"Cela c'est une étude danoise. Si l'on s'aperçoit que le virus Omicron touche plus les vaccinés que les non-vaccinés... (!) Je ne peux pas donner mon avis."

(Fin de citation) 

"Omicron toucherait davantage les triples vaccinés (8%) que les non-vaccinés (1,2%) - étude danoise - Martin Blachier - C News

Mise à jour le 25-12-2021. "Omicron sélectionne les vaccinés" avait dit Martin Blachier.

C’est vérifié dans cette étude danoise publiée le 23 décembre : avec Omicron, le risque d’infection explose pour les double-vaccinés, au point qu’ils s’infectent plus que les non-vacc avec le temps !

Protection booster : 50% max à court terme.

 

Quelles leçons tirer de cette étude ?

1) Le bénéf du booster est très faible pour les jeunes, car la protection contre l’infection est médiocre (50% // 2d) d’autant plus que les auteurs n’incluent même pas les données < 14 jours post-booster : elle est peut-être encore + basse !

2) Le booster n’arrêtera pas Omicron. Il est donc inutile de lutter contre la transmission en population générale, d’autant plus que ce nouveau variant semble beaucoup plus bénin pour les personnes saines !

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12 décembre 2021 7 12 /12 /décembre /2021 13:41

Alors que la voie est désormais ouverte à la vaccination des enfants, plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune publiée sur QG Le Média libre. (Twitter)

Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident

Tribune: « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident »

12/12/2021

 

Source : Quartier Général, Le Media libre

 

L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.200 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre

 

 

La séquence d’appel à la vaccination des enfants par le gouvernement français ce lundi 6 décembre était écrite d’avance. L’Agence européenne du médicament (EMA) avait autorisé le 25 novembre l’usage des vaccins expérimentaux contre le Covid-19 chez les enfants âgés de 5 à 11 ans, ne faisant que suivre une nouvelle fois la Food and Drug Administration (FDA) américaine (communiqué du 29 octobre). Ceci ne concerne plus désormais que le produit de Pfizer/BioNTech, même s’il faut bien par ailleurs continuer à écouler le stock de celui de Moderna dans les vaccinodromes. En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) lui emboîtait le pas en proposant (le 30 novembre) de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder et pour ceux vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou vulnérables non protégées par la vaccination ». Elle appelle cela « la stratégie du cocooning », une appellation d’apparence bienfaisante, qui masque le fait que les enfants sont bien moins contaminants que leurs parents et leurs enseignants (comme le montre une étude de l’Institut Pasteur). Et la HAS annonce déjà qu’elle « se prononcera ultérieurement sur la pertinence d’élargir cette vaccination ». Le premier groupe (les enfants « à risque ») concernerait déjà au bas mot 360.000 personnes. Mais, bizarrement, la HAS ne chiffre pas le second groupe, celui des « enfants de 5 à 11 ans vivant dans l’entourage de personnes immunodéprimées ou celui de personnes vulnérables non protégées par la vaccination ». Il faut dire que, selon le gouvernement, le taux de vaccination des personnes de plus de 65 ans dépasse les 92% en France, de sorte que l’on ne voit pas très bien combien de « personnes immunodéprimées ou vulnérables » ne seraient pas encore vaccinées. Mais peu importe en réalité, l’essentiel est de continuer la grande marche en avant vers la vaccination intégrale (et répétée tous les six mois au minimum) de toute l’humanité. Telle est la nouvelle religion qui se répand dans le monde et permet aux grands maîtres argentiers Pfizer et Moderna d’engranger 1 000 dollars de bénéfice par seconde à chaque instant de nos vies, le tout orchestré par leurs vassaux régionaux que sont devenus la plupart des gouvernements occidentaux ainsi que les agences internationales – à commencer par une Commission Européenne emmenée par une Ursula von der Leyen orchestrant la grande opération vaccinale tout en ayant un fils travaillant pour le cabinet McKinsey et un mari directeur d’une entreprise de biotechnologies orientée vers les thérapies génétiques.

 

 

En France, la Haute Autorité de Santé (HAS) propose de vacciner tous les « enfants fragiles », à savoir « tous ceux qui présentent un risque de faire une forme grave de la maladie et de décéder »

 

Les ressorts éculés de la propagande de masse

 

Pour y parvenir, ces gouvernements (et les nombreux journalistes qui les suivent au garde-à-vous) utilisent toutes les vieilles ficelles de la propagande. La logique de base est celle qu’expliquait déjà Jacques Ellul il y a 60 ans (Propagandes, 1962) : « En face de la propagande d’agitation [des révolutionnaires, des putschistes, des terroristes], nous trouvons la propagande d’intégration, qui est la propagande des nations évoluées, et caractéristique de notre civilisation. C’est une propagande de conformisation ». En effet, « dans une démocratie, il faut associer les citoyens aux décisions de l’Etat. C’est là le grand rôle de la propagande. Il faut donner aux citoyens le sentiment d’avoir voulu les actes du gouvernement, d’en être responsables, d’être engagés à les défendre et à les faire réussir ». On reconnaît là le fondement de ce qui est appelé nudge de nos jours, un mot anglais à la mode pour désigner de vieilles techniques de marketing et de publicité. C’est en effet aux années d’entre-deux-guerres que remonte cette conception moderne de la propagande. L’un de ses maîtres à penser fut Edward Bernays, dont toute l’œuvre de propagandiste et de publicitaire reposait sur l’idée que « la masse est incapable de juger correctement des affaires publiques et que les individus qui la composent sont inaptes à exercer le rôle de citoyens en puissance qu’une démocratie exige de chacun d’eux : bref, que le public, au fond, constitue pour la gouvernance de la société un obstacle à contourner et une menace à écarter », comme le résume son préfacier français.

 

Le premier socle permanent de cette propagande est la peur, qui permet de placer les sujets en état de suggestibilité. Après avoir longtemps nié l’existence des variants (sans doute parce que c’est l’IHU de Marseille qui le montrait), le gouvernement s’en est emparé pour renouveler cette stratégie de la peur. Chaque nouveau variant permet ainsi de relancer l’idée simplette des « vagues » successives censées nous submerger, et vient justifier de nouvelles étapes dans l’objectif de vaccination intégrale, tout en détournant l’attention des véritables causes de la mortalité occasionnée par ces virus. Causes qui sont essentiellement d’une part la proportion croissante de personnes atteintes de maladies chroniques environnementales (obésité, diabète, insuffisances cardiaques ou respiratoires, etc.), d’autre part la tiers-mondisation de l’hôpital public.

 

Vient ensuite la technique de propagande « blouses blanches et galons » bien décrite par Etienne Augé (Petit traité de propagande. À l’usage de ceux qui la subissent, 2007). Elle consiste à « faire appel à des individus disposant de par leur titre, grade ou mandat, d’une autorité sociale susceptible de bénéficier d’une crédibilité sans rapport avec leurs propos et de provoquer chez leur audience une adhésion à leurs idées, arguments ou actions ». Ainsi peut-on constater dans les médias « l’apparition de spécialistes-professionnels, capables d’intervenir sur des sujets dont ils n’ont parfois pas une connaissance suffisante mais sur lesquels ils parviennent à s’exprimer avec un langage convaincant. Leur discours est perçu par la plupart des non-spécialistes comme un avis valant expertise car on a pris soin de les présenter, par exemple par le biais d’un bandeau à la télévision, en mettant en valeur leurs titres, tels que docteur, professeur, général, ainsi que leur domaine d’expertise ». Bien entendu, pour que cela fonctionne, il faut soigneusement dissimuler leurs fréquents liens avec les industries pharmaceutiques.

 

En outre, les gouvernements comme celui de la France utilisent massivement un autre classique de la propagande d’Etat qu’Etienne Augé appelle « le choix truqué ». Il consiste à « proposer à un public un choix, comme s’il lui revenait de trancher et de choisir la meilleure option, tout en sachant à l’avance quel sera le résultat de cette consultation. Ainsi, le propagandiste met l’auditoire devant l’alternative entre un choix inacceptable qui sera nécessairement rejeté, et une option qui apparaîtra comme peu désirée mais inéluctable devant l’ampleur du danger qui menace ». Vaccinés ou reconfinés ? Vaccinés ou remasqués ? Vaccinés, guéris ou morts ? L’histoire était écrite d’avance pour qui sait la reconnaître: « on utilise le choix truqué principalement pour expliquer des sacrifices ou pour annoncer des mesures drastiques. Il n’est pas rare, dans ces cas-là, que l’on utilise des expressions inquiétantes, car l’objectif est de montrer qu’il n’existe qu’une solution pour prévenir une catastrophe ». Et l’auteur de conclure que le chef politique doit alors « s’imposer dans un rôle de sauveur qui sait apprécier l’altruisme de ses ‘ouailles’. Il peut demander qu’on lui sacrifie certaines libertés primaires afin de mieux garantir la sécurité de chacun dans des temps troublés. Cette technique se retrouve à l’origine de la plupart des systèmes de domination massifs qui conduisent à des dictatures ».

 

Enfin, arrive la technique de la grenouille ébouillantée dans la célèbre fable : plongez une grenouille dans de l’eau bouillante et elle bondira pour s’échapper, mais plongez-la dans de l’eau froide et portez progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdira et finira par mourir de cette cuisson sans s’en apercevoir. Les gouvernements usent et abusent de cette technique de contrainte en passant leur temps à jurer que telle obligation n’arrivera jamais ou que telle catégorie de la population ne sera jamais concernée, afin de ne pas alarmer la population. Tout en réalisant la chose petit à petit. Ainsi la vaccination fut-elle d’abord réservée aux personnes les plus âgées et aux professionnels de soins. Ensuite, elle a été élargie progressivement aux adultes des tranches d’âge inférieures, avant de passer aux adolescents, puis aux enfants. Aujourd’hui ce sont les enfants réputés « fragiles », pour continuer à jouer le noble rôle de protecteur. Demain, ce sera en réalité la totalité.

 

La réalité n’a pas grand-chose à voir avec cette propagande

 

La réalité, elle, se moque de ces manipulations des peuples. Elle se résume en cinq constats.

 

Figure 1 : Évolution par rapport à 2019 du nombre de décès cumulé selon l’âge

Source : INSEE, état civil. Nombre de décès quotidiens transmis jusqu’au 8 novembre 2021

Note de lecture : manque l’année sur la dernière couleur (1er mars-30 avril 2020)

 

Le premier est que la prétendue « pandémie du siècle » n’a jamais menacé les personnes âgées de moins de 60 ans. S’il y a bien une catégorie de personnes qui ne risquent rien statistiquement, ce sont les enfants. Les statistiques de mortalité établies par l’INSEE montrent même que les personnes âgées de moins de 25 ans ont connu une sous-mortalité en 2020 et 2021 par rapport à 2019 (Figure 1 ci-contre). Quant à celles âgées de 25 à 49 ans, elles n’ont globalement pas vu la différence. La figure montre aussi que, sur la période actuelle (1er juin – 8 novembre 2021), il n’y a pas non plus de surmortalité chez les 50-64 ans.

 

Le deuxième constat est qu’il n’est pas justifié d’annoncer systématiquement le pire, aujourd’hui l’imminence d’une « cinquième vague ». La réalité est d’abord qu’il est fallacieux de présenter une courbe des « cas positifs » (qui dépend de nombreux facteurs, à commencer par la fréquence des tests) comme une courbe du nombre de « malades ». L’immense majorité des personnes porteuses de ce virus ont toujours été peu ou pas symptomatiques. Ensuite, les hospitalisations et les décès augmentent certes lentement, mais c’est le cas chaque année à cette période d’entrée dans l’hiver. Les données du réseau Sentinelles (un réseau français qui existe depuis 1984 et qui constitue un échantillon de plusieurs centaines de médecins généralistes faisant remonter leur activité médicale sur les maladies infectieuses) montrent même que le nombre de malades se situe actuellement très en deçà non seulement des deux principales épidémies de Covid (mars-avril 2020 et octobre-novembre 2020), mais aussi des années de plus fortes grippes saisonnières (Figure 2 ci-contre). Ceci signifie que la spécificité de l’épidémie de Covid ne réside probablement pas dans sa dangerosité intrinsèque, mais bien plutôt dans la réponse thérapeutique, ou plutôt l’absence de réponse thérapeutique, qui lui a été opposée par les médecins du fait des consignes gouvernementales qui ont privilégié d’abord des mesures non-pharmaceutiques (confinements, couvre-feux, etc.), ensuite la « solution vaccinale ».

 

Figure 2 : comparaison du nombre de malades recensés lors des épidémies de Covid (2020-2021) et des épidémies de grippes saisonnières 2019 et 2020

Source : réseau Sentinelles, mise en forme IRSAN

 

Le troisième constat est que la vaccination se dirige vers 100% de couverture de la population générale sans que cela ne change rien à la dynamique des épidémies successives provoquées par les variants. C’était déjà le cas du variant Delta (Indien) lors de l’été dernier, et c’est à nouveau le cas du variant sud-africain dit Omicron (apparemment moins dangereux que les précédents). La conclusion est fatale : le sauvetage par la vaccination générale est un mythe. Comme toutes les religions, il ne repose que sur la foi des croyants. La réalité, visible depuis plusieurs mois, est que la vaccination n’enraye nullement la propagation de l’épidémie. Et pour cause, il est bien établi que la vaccination n’empêche ni la contamination ni la transmission du virus.

 

Le quatrième constat est que, comme toutes les idéologies religieuses ou laïques, la vaccination intégrale est une structure psychorigide aveugle à tout effet pervers et sourde à toute remise en cause. En l’occurrence, il est tabou de parler d’effets indésirables graves liés à la vaccination des jeunes. Or la réalité est là, qui ne pourra pas être indéfiniment cachée sous le tapis. Les adeptes de la nouvelle religion ont déployé de grands efforts pour dénier toute pertinence aux données de pharmacovigilance qui étaient disponibles déjà l’été dernier. Ils ne pourront rien contre l’accumulation des publications scientifiques qui documentent notamment les risques inédits de problèmes cardiaques (thromboses, péricardites, myocardites) chez les adolescents vaccinés (voir par exemple ici, ici, ici, ici et ). En d’autres termes, le rapport bénéfice/risque est clairement défavorable à la vaccination des jeunes. Pour cette raison, plusieurs pays scandinaves ont déjà renoncé à injecter aux jeunes les vaccins ARNm, rejoints il y a quelques jours par le Japon. Au demeurant, lorsque le gouvernement avait saisi le Comité Consultatif National d’Ethique le 27 avril 2021, ce dernier avait conclu que « la vaccination des enfants de moins de 12 ans ne semble pas éthiquement et scientifiquement acceptable ». Mais qui se soucie encore de l’éthique ?

 

Enfin, le cinquième et dernier constat est que cette idéologie industrielle et scientiste de la vaccination intégrale fonctionne comme les religions en temps de crise par le passé. Elle a ses grands prêtres et ses dévots, qui monopolisent plus que jamais la parole sur les plateaux de télévision. Elle a son inquisition médiatique qui excommunie les penseurs déviants et rêverait de pouvoir les brûler comme jadis les sorcières. Et elle produit massivement des boucs-émissaires (les non-vaccinés) qui sont traités comme autrefois les pestiférés ou les lépreux, plus récemment les victimes du Sida que J.-M. Le Pen voulait enfermer dans des « sanatoriums ». Situation d’autant plus absurde que tout vacciné est un futur non-vacciné qui s’ignore, puisque tout sera remis en cause pour celui ou celle qui ne fera pas sa troisième dose, avant sa quatrième (déjà actée par M. Delfraissy), sa cinquième, sa sixième, etcetera. Le principe même du « pass sanitaire » a beau reposer sur un mensonge éhonté (répétons que la vaccination ne bloque ni l’infection ni la transmission), sa logique discriminatoire se déploie dramatiquement depuis plusieurs mois. Et comme si la perte d’emploi, le non-accès aux restaurants, aux lieux culturels, etc., ne suffisait pas, les gouvernements européens rivalisent à présent d’imagination contre l’espèce de nouvel ennemi public n°1 qu’est devenu le non-vacciné. A l’image de l’Autriche, il ne suffit plus d’exclure, on voudrait maintenant mettre à l’amende, punir et enfermer. Cette logique discriminatoire morbide, qui viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables », dresse les citoyens les uns contre les autres et sera certainement décrite un jour par les historiens comme une sorte de folie collective orchestrée par des personnes ayant perdu tout sens des valeurs démocratiques et des droits de l’homme. Nous ne devons pas nous y résigner et rester muets devant un tel désastre intellectuel et moral.

 

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QUARTIER GENERAL

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 11:11

Quel que soit leur bénéfice, ce n'est rien d'autre qu'un détournement d'argent public comme il n'y en a jamais eu.

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 11:07

Parmi les 10 pays ayant la plus forte mortalité au monde en ce moment, 8 pays sur 10 sont les pays les plus vaccinés au monde !

Non seulement ces "vaccins" sont inefficaces, mais ils semblent entraver la fin de l'épidémie, déjà oubliée chez la plupart des pays les moins vaccinés.

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 10:56

Le Premier ministre britannique Boris Johnson annonce les restrictions pour lutter contre la propagation de la variante Omicron de Covid-19 : le travail à domicile, l'extension des masques obligatoires et l'introduction de passeports vaccinaux COVID. (SkyNews)

Les décideurs tiennent nos vies entre leurs mains alors que leurs décisions n’ont aucun fondement scientifique. Ils ont imposé la vaccination de masse contre un virus très mutant sans prévoir que des variants du virus perceraient les vaccins. Mais rien n’arrête leur train fou.

La plupart des premiers cas Omicron aux USA concernent des personnes vaccinées. Les CDC qui savent qu’Omicron perce les vaccins préconisent cependant la 3ème dose et ne songent pas à préconiser de traiter les gens pour éviter l’aggravation éventuelle de troubles plutôt légers.

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11 décembre 2021 6 11 /12 /décembre /2021 10:08

Lors du "Doctothon : 300 docteurs s’expriment sur la crise sanitaire pendant 24 h", le docteur Paul Bousquet qui n'a pas de conflits d'intérêt explique que "la médecin est détournée vers des intérêts financiers contre l'intérêt des patients."

 

"Comment cela est-il possible ?, demande-il.

 

"Parce que le système est corrompu. On falsifie des études. On l'a vu au travers de certaines études comme celle du Lancet :

 

> «The Lancet Gate» : saga d'une étude corrompue (Les Echos)

 

"On camoufle les effets indésirables, ce qui a valu de multiples condamnations à des laboratoires, tels que Pfizer.

 

"Et on peut conclure que ces entreprises sont dirigées par des criminels multirécidivistes, qui ne vont jamais en prison malgré les amendes et continuent à engranger des bénéfices considérables.

 

"Et on a l'obligation de confier notre santé à ces criminels.

 

"Le professeur Fernand Turcotte de l'Université de Laval a résumé cela en une phrase qu'il faudrait que l'on grave tous dans notre mémoire : 

 

'L'industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu toutes les décisions de santé publique dans tous les pays, à tous les niveaux.'

 

"D'autre part en gestion de crise, on enseigne en premier lieu à rassurer la population : amplifier sa peur et la nourrir relève de malveillances intentionnelles.

 

Le Préfet donne ses consignes à la directrice de l'ARS en Guadeloupe : "On adopte un ton grave et CATASTROPHIQUE !"

Christophe Barbier : "L'angoisse a été organisée par l'administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché"

Utiliser la peur lors de la crise du Covid était "totalitaire", reconnaissent les scientifiques au Royaume-Uni

 

"D'autre part encore, l'infection à Covid se traite et nous sommes nombreux à l'expérimenter chaque jour. Ces traitements diminuent la létalité et le risque d'hospitalisation en soins intensifs. Mais si un seul de ces traitements avaient été reconnus par une agence internationale, aucun 'vaccin' n'aurait pu avoir l'AMM (autorisation de mise sur le amrché. Ndlr.). Ce qui explique les attaques féroces dont ces thérapeutiques ont fait l'objet par les pantins de l'industrie pharmaceutique sur toutes les ondes.

 

"Alors s'agit-il de vaccins ou de thérapies géniques expérimentales ?

 

"Il faut dire qu'en plus de quinze ans, depuis le premier SRAS coronavirus, aucun vaccin n'a pu être mis au point contre un coronavirus parce qu'il se recombine, parce qu'il y a des anticorps facilitants qui peuvent faire qu'une infection ultérieure est plus grave. Et là, en moins d'un an on nous sort un 'vaccin'."

 

(Fin de citation)

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